Passionnée par la cuisine
Dans un épisode de podcast publié sur le compte Instagram de My Lymedias, la cheffe guadeloupéenne, dévouée à la promotion de la culture d'outre-mer tout au long de sa vie, évoque ses années de 2001 à 2004 passées dans les cuisines du Souverain.
«Un dimanche, je reçois un coup de téléphone chez moi», se remémore-t-elle, riant de ne pas avoir cru de prime abord son interlocuteur lorsque celui-ci, à l’autre bout du fil, lui annonce: «secrétariat particulier de Sa Majesté le roi Mohammed VI».
En riant, elle relate avoir raccroché brusquement à la première occasion, croyant initialement à une plaisanterie. Même au deuxième appel, la cheffe demeure incrédule et met fin rapidement à la conversation.
Cependant, elle se rappelle que la personne la rappelle pour la troisième fois avec la question inattendue : "Avez-vous un fax ?". Babette de Rozières souligne qu'à cette époque, elle n'utilisait pas les emails pour communiquer.
«Un dimanche, je reçois un coup de téléphone chez moi», se remémore-t-elle, riant de ne pas avoir cru de prime abord son interlocuteur lorsque celui-ci, à l’autre bout du fil, lui annonce: «secrétariat particulier de Sa Majesté le roi Mohammed VI».
En riant, elle relate avoir raccroché brusquement à la première occasion, croyant initialement à une plaisanterie. Même au deuxième appel, la cheffe demeure incrédule et met fin rapidement à la conversation.
Cependant, elle se rappelle que la personne la rappelle pour la troisième fois avec la question inattendue : "Avez-vous un fax ?". Babette de Rozières souligne qu'à cette époque, elle n'utilisait pas les emails pour communiquer.
La première femme dans les cuisines de l’ONU en 2015
Ainsi, en découvrant un fax provenant du secrétariat particulier du Souverain, Babette de Rozières, qui avait été la première femme à cuisiner dans les cuisines de l'ONU en 2015 à la demande de Ban Ki-Moon, réalise alors que cela "n'était pas une plaisanterie".
Dans le podcast, on lui demande : «Pourquoi vous?» À cela, celle qui a fait de la cuisine créole sa spécialité répond humblement : «Je ne sais pas. Je n'ai jamais su pourquoi.» Elle se remémore avec un sourire cette période où elle se rendait chaque mois au Maroc pour cuisiner pour le roi Mohammed VI.
Cependant, Babette de Rozières n'était pas seulement aux fourneaux pour le Souverain, elle cuisinait également pour son fils, Moulay Hassan, qui était encore un nourrisson à l'époque.
Elle se souvient en tenant le petit dans ses bras, lui préparant ses purées. Aujourd'hui, la restauratrice guadeloupéenne occupe les fonctions de conseillère régionale en Île-de-France et de chroniqueuse culinaire à la télévision française.
L'odj avec Le360
«On m’a ensuite appelé et Sa Majesté m’a demandé de venir pour faire son repas».
Dans le podcast, on lui demande : «Pourquoi vous?» À cela, celle qui a fait de la cuisine créole sa spécialité répond humblement : «Je ne sais pas. Je n'ai jamais su pourquoi.» Elle se remémore avec un sourire cette période où elle se rendait chaque mois au Maroc pour cuisiner pour le roi Mohammed VI.
Cependant, Babette de Rozières n'était pas seulement aux fourneaux pour le Souverain, elle cuisinait également pour son fils, Moulay Hassan, qui était encore un nourrisson à l'époque.
Elle se souvient en tenant le petit dans ses bras, lui préparant ses purées. Aujourd'hui, la restauratrice guadeloupéenne occupe les fonctions de conseillère régionale en Île-de-France et de chroniqueuse culinaire à la télévision française.
«Y avait-il un goûteur?» lui est-il demandé. «Je pense qu’il y avait un goûteur, mais Sa Majesté goûtait toujours mes petits acras sans passer par son goûteur», se réjouit-elle.
L'odj avec Le360