En 14 min 00 sec 21/100, Tsegay (26 ans), a retranché près de 5 secondes au record établi par la Kényane Faith Kipyegon à Paris en juin (14:05.20).
Parfaitement emmenée par les meneuses d'allure et guidée par la "wavelight" (technologie lumineuse en bord de piste), Tsegay a fini en solitaire après avoir réussi à décrocher de son sillage la Kényane Beatrice Chebet, elle-même tout proche de l'ancien record (14:05.92).
Kipyegon, invaincue cette saison et championne du monde de la distance en Hongrie, ne participait pas à la course après avoir remporté le 1.500 m samedi.
A 26 ans, Tsegay signe elle un deuxième record du monde, alors qu'elle détient celui du 1.500 m en salle (3:53.09 à Liévin en 2021).
L'Ethiopienne avait triomphé sur 10.000 m aux Championnats du monde de Budapest le mois dernier mais avait craqué lors de la finale du 5.000 m (13e). Elle avait été sacrée championne du monde de la distance en 2022 sur cette même piste du Hayward field, après s'être emparé du bronze olympique à Tokyo en 2021.
Après sa victoire sur le mile (environ 1.609 m) samedi, le Norvégien Jakob Ingebrigtsen s'est lui imposé sur 3.000 m dimanche en 7 min 23 sec 63/100, le troisième chrono de l'histoire de cette discipline non disputée en championnat.
Parfaitement emmenée par les meneuses d'allure et guidée par la "wavelight" (technologie lumineuse en bord de piste), Tsegay a fini en solitaire après avoir réussi à décrocher de son sillage la Kényane Beatrice Chebet, elle-même tout proche de l'ancien record (14:05.92).
Kipyegon, invaincue cette saison et championne du monde de la distance en Hongrie, ne participait pas à la course après avoir remporté le 1.500 m samedi.
A 26 ans, Tsegay signe elle un deuxième record du monde, alors qu'elle détient celui du 1.500 m en salle (3:53.09 à Liévin en 2021).
L'Ethiopienne avait triomphé sur 10.000 m aux Championnats du monde de Budapest le mois dernier mais avait craqué lors de la finale du 5.000 m (13e). Elle avait été sacrée championne du monde de la distance en 2022 sur cette même piste du Hayward field, après s'être emparé du bronze olympique à Tokyo en 2021.
«Je visais clairement le record du monde aujourd'hui. Mon premier objectif était aux Mondiaux, mais j'ai souffert d'une jambe en finale du 5.000 m. Je n'en ai pas dormi. Et ça m'a motivé pour aujourd'hui, je suis heureuse», a-t-elle réagi.
Après sa victoire sur le mile (environ 1.609 m) samedi, le Norvégien Jakob Ingebrigtsen s'est lui imposé sur 3.000 m dimanche en 7 min 23 sec 63/100, le troisième chrono de l'histoire de cette discipline non disputée en championnat.