Un an et deux mois après les Championnats du monde 2022, l'athlétisme international retourne à "Tracktown USA", surnom de Eugene, petite ville du forestier Etat de l'Oregon (nord-ouest), pour deux journées chargées.
En juillet 2022, la Jamaïcaine Shericka Jackson avait triomphé en 21 sec 45 (0,6 m/s de vent) et fait trembler le vieux record du monde du 200 m de la controversée américaine Florence Griffith-Joyner (21.34 en 1988).
En 2023, la sprinteuse de 29 ans a confirmé qu'elle pouvait devenir la plus rapide de l'histoire sur le double tour de piste.
En finale des Mondiaux de Budapest, fin août, elle a réussi le deuxième meilleur chrono de tous les temps (21.41, 0,1 m/s de vent) pour conserver son titre, avant de courir en 21 sec 48 (0,2 m/s) la semaine dernière à Bruxelles.
Duplantis et Ingrebrigtsen ambitieux
Le soleil est annoncé à Eugene pour aider la Jamaïcaine dans sa quête, même si la température maximale devrait légèrement baisser dimanche (environ 26 degrés) après plusieurs jours à plus de trente degrés.
Outre Jackson, le week-end s'annonce dense dans l'antre du légendaire fondeur Steve Prefontaine, où 27 champions du monde de Budapest sont présents pour 32 épreuves réunissant les athlètes qui se sont qualifiés lors des treize premiers meetings de Ligue de diamant. Les vainqueurs de chaque discipline empochent un chèque de 30.000 dollars (environ 28.167 euros).
Sur 100 m, la sensation américaine Sha'Carri Richardson, nouvelle reine de la ligne droite, peut finir en trombe la première saison internationale aboutie de sa carrière, mais devra dominer la championne olympique jamaïcaine Elaine Thompson-Herah qui profite d'une forme tardive après avoir manqué une sélection individuelle pour les Mondiaux.
L'Américain Noah Lyles, auteur lui d'un retentissant triplé 100/200/4x100 m en Hongrie, espère confirmer sur 100 m, sans ni son compatriote Fred Kerley, ni le champion olympique italien Marcel Jacobs.
Les records du monde masculins du mile, samedi, puis du saut à la perche, dimanche, pourraient être battus avec le Norvégien Jakob Ingebrigtsen et le Suédois Armand Duplantis.
En juillet 2022, la Jamaïcaine Shericka Jackson avait triomphé en 21 sec 45 (0,6 m/s de vent) et fait trembler le vieux record du monde du 200 m de la controversée américaine Florence Griffith-Joyner (21.34 en 1988).
En 2023, la sprinteuse de 29 ans a confirmé qu'elle pouvait devenir la plus rapide de l'histoire sur le double tour de piste.
En finale des Mondiaux de Budapest, fin août, elle a réussi le deuxième meilleur chrono de tous les temps (21.41, 0,1 m/s de vent) pour conserver son titre, avant de courir en 21 sec 48 (0,2 m/s) la semaine dernière à Bruxelles.
"Ce record, il arrive, je m'en rapproche", avait estimé la double vice-championne du monde du 100 m, qui brillait sur 400 m au début de sa carrière.
Duplantis et Ingrebrigtsen ambitieux
Le soleil est annoncé à Eugene pour aider la Jamaïcaine dans sa quête, même si la température maximale devrait légèrement baisser dimanche (environ 26 degrés) après plusieurs jours à plus de trente degrés.
Outre Jackson, le week-end s'annonce dense dans l'antre du légendaire fondeur Steve Prefontaine, où 27 champions du monde de Budapest sont présents pour 32 épreuves réunissant les athlètes qui se sont qualifiés lors des treize premiers meetings de Ligue de diamant. Les vainqueurs de chaque discipline empochent un chèque de 30.000 dollars (environ 28.167 euros).
Sur 100 m, la sensation américaine Sha'Carri Richardson, nouvelle reine de la ligne droite, peut finir en trombe la première saison internationale aboutie de sa carrière, mais devra dominer la championne olympique jamaïcaine Elaine Thompson-Herah qui profite d'une forme tardive après avoir manqué une sélection individuelle pour les Mondiaux.
L'Américain Noah Lyles, auteur lui d'un retentissant triplé 100/200/4x100 m en Hongrie, espère confirmer sur 100 m, sans ni son compatriote Fred Kerley, ni le champion olympique italien Marcel Jacobs.
Les records du monde masculins du mile, samedi, puis du saut à la perche, dimanche, pourraient être battus avec le Norvégien Jakob Ingebrigtsen et le Suédois Armand Duplantis.