Treize milliards d’euros déboursés pour rien
Pour sauver le groupe endetté, l’État a déboursé, en 20 ans, plus de 13 milliards d’euros via des recapitalisations ou des garanties de prêts. Mais à la fin, c’est plus de 11 milliards d’euros de dettes que le groupe cumule. Il est mis sous tutelle publique en 2018 pour lui éviter la faillite et trouver un repreneur, en vain.
Les conséquences de la pandémie de Covid-19 sonnent le glas d’Alitalia. Au terme de longues négociations avec Bruxelles, c’est ITA qui lui succède. La petite société reprend seulement un tiers de la flotte et 3 000 employés d’Alitalia sur 10 000 cette année.
Mais le personnel de la compagnie historique doute que la nouvelle entité soit assez viable pour embaucher 5 750 en plus en 2022 comme cela a été annoncé.
Source: RFI
Les conséquences de la pandémie de Covid-19 sonnent le glas d’Alitalia. Au terme de longues négociations avec Bruxelles, c’est ITA qui lui succède. La petite société reprend seulement un tiers de la flotte et 3 000 employés d’Alitalia sur 10 000 cette année.
Mais le personnel de la compagnie historique doute que la nouvelle entité soit assez viable pour embaucher 5 750 en plus en 2022 comme cela a été annoncé.
Source: RFI