L'Afrique du Sud est sous le coup d’une série de sanctions pour ne pas avoir mis à jour ses règles antidopage, conformément aux exigences de l'Agence mondiale antidopage (AMA).
Les sélections nationales sud-africaines de Rugby et de cricket risquent ainsi de ne pas pouvoir jouer sous le drapeau national lors des coupes du monde auxquelles elles participent actuellement.
Bien que l’Afrique du Sud a eu deux ans pour se conformer au nouveau code mondial antidopage, M. Kodwa a critiqué l'AMA en qualifiant sa décision de sanctionner le pays de «position rigide et intransigeante».
S'exprimant lors d'un point de presse sur les démarches prises par son département pour éviter les sanctions, le responsable a noté que les sanctions imposées par l'organisme antidopage constituaient une tentative de «calomnier» le gouvernement et le Congrès national africain (ANC au pouvoir).
Par ailleurs, il a signalé qu'une enquête sera ouverte pour déterminer qui était responsable du retard dans la mise à jour de la législation nationale.
L'Institut sud-africain pour un sport sans drogue (SAIDS) avait fait savoir que les autorités du pays envisagent de faire appel contre les sanctions pour non-conformité antidopage imposées par l'AMA.
Cependant, malgré cette démarche, le drapeau sud-africain ne sera pas hissé lors des Championnats du monde d'athlétisme de course sur route, prévus durant ce mois à Riga (Lettonie), selon la Fédération sportive internationale "Word Athletics".
La candidature de la Fédération sud-africaine de football (Safa) à l'organisation de la Coupe du monde féminine de football 2027 est également menacée si les sanctions de l'AMA entrent en vigueur.
Les sanctions comprennent également la suspension des financements et de l’adhésion au conseils d'administration, aux comités ou à tout autre organe de l’Agence. L'Afrique du Sud risque également de ne pas pouvoir accueillir des championnats régionaux, continentaux et mondiaux, ainsi que tout événement sportif majeur.
Le 23 septembre, l'AMA a officiellement informé le SAIDS, en tant que signataire du nouveau Code antidopage, qu'il était en infraction.
Les sélections nationales sud-africaines de Rugby et de cricket risquent ainsi de ne pas pouvoir jouer sous le drapeau national lors des coupes du monde auxquelles elles participent actuellement.
Bien que l’Afrique du Sud a eu deux ans pour se conformer au nouveau code mondial antidopage, M. Kodwa a critiqué l'AMA en qualifiant sa décision de sanctionner le pays de «position rigide et intransigeante».
S'exprimant lors d'un point de presse sur les démarches prises par son département pour éviter les sanctions, le responsable a noté que les sanctions imposées par l'organisme antidopage constituaient une tentative de «calomnier» le gouvernement et le Congrès national africain (ANC au pouvoir).
Par ailleurs, il a signalé qu'une enquête sera ouverte pour déterminer qui était responsable du retard dans la mise à jour de la législation nationale.
L'Institut sud-africain pour un sport sans drogue (SAIDS) avait fait savoir que les autorités du pays envisagent de faire appel contre les sanctions pour non-conformité antidopage imposées par l'AMA.
Cependant, malgré cette démarche, le drapeau sud-africain ne sera pas hissé lors des Championnats du monde d'athlétisme de course sur route, prévus durant ce mois à Riga (Lettonie), selon la Fédération sportive internationale "Word Athletics".
La candidature de la Fédération sud-africaine de football (Safa) à l'organisation de la Coupe du monde féminine de football 2027 est également menacée si les sanctions de l'AMA entrent en vigueur.
Les sanctions comprennent également la suspension des financements et de l’adhésion au conseils d'administration, aux comités ou à tout autre organe de l’Agence. L'Afrique du Sud risque également de ne pas pouvoir accueillir des championnats régionaux, continentaux et mondiaux, ainsi que tout événement sportif majeur.
Le 23 septembre, l'AMA a officiellement informé le SAIDS, en tant que signataire du nouveau Code antidopage, qu'il était en infraction.