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Depuis leur retour au pouvoir en août 2021, les talibans n’ont cessé de limiter les droits des femmes en Afghanistan. L’éducation, le travail, les déplacements et les loisirs sont désormais strictement réglementés dans leur quotidien. Déjà exclues des écoles secondaires et des universités, les Afghanes ne peuvent plus apparaître dans les lieux publics, exercer dans de nombreux secteurs, ni se déplacer sans être accompagnées. Cette série de restrictions vient cependant de franchir un nouveau cap. D’après le « Telegraph », une nouvelle règle interdit désormais aux femmes de converser entre elles, même durant la prière.
Une voix interdite même dans la prière
Cette nouvelle restriction a été annoncée par le ministre afghan de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice. Dans un récent enregistrement vocal, il a déclaré que les femmes ne devaient pas « entendre la voix d’autres femmes ».
Même en prière, si une autre femme se trouve à proximité, elles sont tenues de réciter à voix basse pour ne pas être entendues. Selon ce ministre, les femmes ne peuvent ainsi ni prononcer le Takbir ni l'Azan, les appels à la prière islamiques, et encore moins chanter. Cependant, certains observateurs rappellent que ces interdictions ne sont pas imposées par les préceptes de l’islam, mais relèvent de l’interprétation particulière des talibans, visant à contrôler et isoler les femmes.
Même en prière, si une autre femme se trouve à proximité, elles sont tenues de réciter à voix basse pour ne pas être entendues. Selon ce ministre, les femmes ne peuvent ainsi ni prononcer le Takbir ni l'Azan, les appels à la prière islamiques, et encore moins chanter. Cependant, certains observateurs rappellent que ces interdictions ne sont pas imposées par les préceptes de l’islam, mais relèvent de l’interprétation particulière des talibans, visant à contrôler et isoler les femmes.
Un quotidien réduit au silence
Cette nouvelle restriction a été annoncée par le ministre afghan de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice. Dans un récent enregistrement vocal, il a déclaré que les femmes ne devaient pas « entendre la voix d’autres femmes ».
Même en prière, si une autre femme se trouve à proximité, elles sont tenues de réciter à voix basse pour ne pas être entendues. Selon ce ministre, les femmes ne peuvent ainsi ni prononcer le Takbir ni l'Azan, les appels à la prière islamiques, et encore moins chanter. Cependant, certains observateurs rappellent que ces interdictions ne sont pas imposées par les préceptes de l’islam, mais relèvent de l’interprétation particulière des talibans, visant à contrôler et isoler les femmes.
Même en prière, si une autre femme se trouve à proximité, elles sont tenues de réciter à voix basse pour ne pas être entendues. Selon ce ministre, les femmes ne peuvent ainsi ni prononcer le Takbir ni l'Azan, les appels à la prière islamiques, et encore moins chanter. Cependant, certains observateurs rappellent que ces interdictions ne sont pas imposées par les préceptes de l’islam, mais relèvent de l’interprétation particulière des talibans, visant à contrôler et isoler les femmes.