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Admirez les oeuvres des autres, c’est découvrir une nouvelle façon de penser, une perspective différente. C’est aussi diversifier ses sources d’inspiration pour son propre travail.
De nombreux photographes de talent publient sur Instagram leurs plus beaux clichés. Nous en avons trouvé 4 qui vont vous faire voyager.
Mouslamrabat :
Mous Lamrabat est né dans le nord du Maroc et a grandi en Belgique. À 35 ans, ce photographe reconnu exploite dans son travail sa double culture en créant des images décalées, souvent drôles, révélatrices d’une identité plurielle.
Mous Lamrabat est né dans le nord du Maroc et a grandi en Belgique. À 35 ans, ce photographe reconnu exploite dans son travail sa double culture en créant des images décalées, souvent drôles, révélatrices d’une identité plurielle.
Fatima Zohra Serri :
Originaire d’une famille conservatrice, la comptable de 23 ans prend des photos depuis trois ans seulement.
Elle a commencé avec un téléphone et très vite, elle s’est intéressée à la situation compliquée des femmes.
Originaire d’une famille conservatrice, la comptable de 23 ans prend des photos depuis trois ans seulement.
Elle a commencé avec un téléphone et très vite, elle s’est intéressée à la situation compliquée des femmes.
Yassine Alaoui Ismaili :
Yassine Alaoui Ismaili, connue sous le nom de Yoriyas, est une photographe et breakdancer marocaine basée à Casablanca, au Maroc.
En tant que photographe, Yoriyas est spécialisée dans la photographie de rue.
Yassine Alaoui Ismaili, connue sous le nom de Yoriyas, est une photographe et breakdancer marocaine basée à Casablanca, au Maroc.
En tant que photographe, Yoriyas est spécialisée dans la photographie de rue.
Redouani :
Redouani il s'est mis à la photo “il y’a peu”. Ses premiers partages, qui remontent au mois de mai 2020 sont en effet quelque peu hésitants, encore timides.
Aujourd’hui, Redouani a trouvé un concept qui fonctionne : le triptyque. En s’adaptant à la contrainte du réseau social, le jeune artiste présente dans ce tempo en trois temps une vaste galerie d’autoportraits dont les couleurs et la construction font écho à l’architecture de la ville ocre.
Redouani il s'est mis à la photo “il y’a peu”. Ses premiers partages, qui remontent au mois de mai 2020 sont en effet quelque peu hésitants, encore timides.
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