Quand la fast-fashion doit se plier au DSA
La Commission a demandé à ces deux entreprises de fournir davantage d'informations sur les mesures prises pour se conformer aux exigences du DSA. Parmi les points soulevés figurent la notification des produits illicites, la gestion des interfaces pour éviter la tromperie des consommateurs, la protection des mineurs, la conformité "by design" des mesures de transparence, ainsi que la traçabilité des revendeurs.
Cette requête fait suite à une plainte déposée par le Bureau Européen des Unions de Consommateurs (BEUC) contre Temu, qui l'accuse de proposer des produits à prix fortement réduits en s'appuyant sur la "gamification" et une publicité intensive pour séduire les consommateurs.
Les deux entreprises ont jusqu'au 12 juillet pour répondre aux interrogations de Bruxelles. En cas d'informations inexactes, incomplètes ou trompeuses, elles s'exposent à des amendes pouvant aller jusqu'à 6% de leur chiffre d'affaires annuel. La Commission étudiera ensuite les réponses transmises avant de décider d'une éventuelle procédure formelle.
Cette requête fait suite à une plainte déposée par le Bureau Européen des Unions de Consommateurs (BEUC) contre Temu, qui l'accuse de proposer des produits à prix fortement réduits en s'appuyant sur la "gamification" et une publicité intensive pour séduire les consommateurs.
Les deux entreprises ont jusqu'au 12 juillet pour répondre aux interrogations de Bruxelles. En cas d'informations inexactes, incomplètes ou trompeuses, elles s'exposent à des amendes pouvant aller jusqu'à 6% de leur chiffre d'affaires annuel. La Commission étudiera ensuite les réponses transmises avant de décider d'une éventuelle procédure formelle.