Ryanair, encore et toujours désignée comme le plus gros pollueur aérien en Europe, étouffe le ciel sous ses émissions.
Des chiffres qui donnent le tournis : en 2023, Ryanair a craché pas moins de 15 millions de tonnes de gaz à effet de serre, soit 23% de plus qu'avant la pandémie. Et ce n'est pas tout : Wizz Air, autre mastodonte du low-cost, n'est pas en reste, avec une augmentation de ses émissions de 40% sur la même période.
Des conséquences alarmantes pour l'environnement : les émissions de Ryanair équivalent à celles de sept millions de voitures essence en un an ! Un véritable désastre écologique qui met en lumière l'urgence d'agir pour limiter l'impact désastreux du secteur aérien sur notre planète.
Pendant ce temps, les compagnies aériennes traditionnelles, comme Lufthansa et British Airways, luttent pour survivre face à la concurrence féroce des low-cost. Mais à quel prix pour l'environnement ?
Face à ce constat accablant, plusieurs questions se posent : Que font les gouvernements pour réguler les émissions des compagnies aériennes ? Les consommateurs sont-ils prêts à payer plus cher pour des vols plus écologiques ? Les compagnies aériennes low-cost prendront-elles un jour leurs responsabilités environnementales au sérieux ? En attendant des réponses concrètes, il est temps de passer à l'action ! Exigeons des compagnies aériennes des engagements clairs en matière de réduction de leur empreinte carbone. Privilégions les alternatives au transport aérien pour les trajets courts ou moyens. Compensons nos émissions de CO2 en soutenant des projets de reforestation ou d'énergies renouvelables. L'avenir de notre planète en dépend !
Des conséquences alarmantes pour l'environnement : les émissions de Ryanair équivalent à celles de sept millions de voitures essence en un an ! Un véritable désastre écologique qui met en lumière l'urgence d'agir pour limiter l'impact désastreux du secteur aérien sur notre planète.
Pendant ce temps, les compagnies aériennes traditionnelles, comme Lufthansa et British Airways, luttent pour survivre face à la concurrence féroce des low-cost. Mais à quel prix pour l'environnement ?
Face à ce constat accablant, plusieurs questions se posent : Que font les gouvernements pour réguler les émissions des compagnies aériennes ? Les consommateurs sont-ils prêts à payer plus cher pour des vols plus écologiques ? Les compagnies aériennes low-cost prendront-elles un jour leurs responsabilités environnementales au sérieux ? En attendant des réponses concrètes, il est temps de passer à l'action ! Exigeons des compagnies aériennes des engagements clairs en matière de réduction de leur empreinte carbone. Privilégions les alternatives au transport aérien pour les trajets courts ou moyens. Compensons nos émissions de CO2 en soutenant des projets de reforestation ou d'énergies renouvelables. L'avenir de notre planète en dépend !