Les salons automobiles, qui peinent de plus en plus à attirer des foules enthousiastes et les constructeurs, ont traversé trois années difficiles. Le Salon de Munich vient de s'achever sans susciter un engouement extraordinaire, Paris s'efforcera l'année prochaine de redorer son image après le fiasco de 2022, le Salon de Genève tentera de renaître après son exil au Qatar, et Bruxelles prépare son retour sous une nouvelle direction. Face à ces défis, les salons automobiles luttent pour leur survie.
La présence des constructeurs, élément clé :
La participation des constructeurs automobiles est cruciale pour la pérennité de ces salons. Alors que Volvo a déjà annoncé son retrait, que Stellantis montre de plus en plus de réticence à représenter ses marques, et que D’Ieteren a indirectement contribué à l'annulation du salon automobile belge en décidant de ne pas y participer, Renault prend un chemin différent. Le constructeur français a publié un communiqué dans lequel il réaffirme son engagement envers ce type d'événement, confirmant d'ores et déjà sa participation au Salon de Genève en février prochain et au Mondial de l'Auto de Paris dans un an.
Renault justifie cette décision en expliquant que "l'environnement automobile est en pleine mutation avec des innovations majeures pour répondre aux défis sociaux et écologiques, tout en restant un lieu de partage autour de la passion automobile entre les constructeurs et les visiteurs". De plus, le constructeur français invite ses concurrents européens à s'unir pour que ces salons contribuent au rayonnement de l'industrie automobile européenne et célèbrent ensemble cette passion automobile.
La présence des constructeurs, élément clé :
La participation des constructeurs automobiles est cruciale pour la pérennité de ces salons. Alors que Volvo a déjà annoncé son retrait, que Stellantis montre de plus en plus de réticence à représenter ses marques, et que D’Ieteren a indirectement contribué à l'annulation du salon automobile belge en décidant de ne pas y participer, Renault prend un chemin différent. Le constructeur français a publié un communiqué dans lequel il réaffirme son engagement envers ce type d'événement, confirmant d'ores et déjà sa participation au Salon de Genève en février prochain et au Mondial de l'Auto de Paris dans un an.
Renault justifie cette décision en expliquant que "l'environnement automobile est en pleine mutation avec des innovations majeures pour répondre aux défis sociaux et écologiques, tout en restant un lieu de partage autour de la passion automobile entre les constructeurs et les visiteurs". De plus, le constructeur français invite ses concurrents européens à s'unir pour que ces salons contribuent au rayonnement de l'industrie automobile européenne et célèbrent ensemble cette passion automobile.