Montée en gamme et réduction des coûts :
Dans un contexte géopolitique complexe marqué par le retrait de Renault du marché russe, l'essor de l'industrie automobile chinoise et le protectionnisme américain, Renault révise sa stratégie internationale. L'entreprise se concentre sur une marque plus globalisée, mettant davantage en avant l'ADN de Renault en termes de technologies, de design et d'aides à la conduite.
Pour atteindre son objectif de doubler le chiffre d'affaires par véhicule, Renault se tourne vers des segments de marché plus haut de gamme, notamment les segments C et D, qui offrent des marges plus élevées. De plus, l'entreprise prévoit le développement de services liés aux nouveaux modes de financement automobile pour attirer la classe moyenne en croissance dans les pays émergents.
Nouvelle plateforme flexible et connectée :
Renault entend réduire les coûts de production et développer des modèles adaptés aux marchés internationaux, tout en tenant compte des besoins locaux. Pour ce faire, une nouvelle plateforme de production flexible sera déployée dans quatre régions clés : l'Amérique latine, l'Afrique du Nord, la Turquie et l'Inde. Cette plateforme sera capable de produire une gamme de véhicules de 4 à 5 mètres de long, répondant aux besoins de connectivité spécifiques à chaque marché.
Le Kardian, précurseur de la gamme :
Le premier modèle de cette stratégie internationale est le B-SUV Kardian, dont la production a déjà débuté au Brésil. Il marque le début de la montée en gamme de Renault, avec des caractéristiques telles qu'une boîte de vitesses automatique à double embrayage, une première mondiale pour Renault, et une gamme complète de technologies d'aide à la conduite.
Des modèles à venir :
Au-delà du Kardian, les futurs modèles de cette stratégie internationale se caractériseront par leur envergure croissante, avec un concept appelé "Niagara" qui préfigure ces futurs modèles. L'entreprise prévoit des annonces régulières pour ces nouveautés, mais souligne que les véhicules électriques ne seront pas inclus dans ce plan, ces productions restant principalement en Europe en raison de leurs coûts élevés.
Dans un contexte géopolitique complexe marqué par le retrait de Renault du marché russe, l'essor de l'industrie automobile chinoise et le protectionnisme américain, Renault révise sa stratégie internationale. L'entreprise se concentre sur une marque plus globalisée, mettant davantage en avant l'ADN de Renault en termes de technologies, de design et d'aides à la conduite.
Pour atteindre son objectif de doubler le chiffre d'affaires par véhicule, Renault se tourne vers des segments de marché plus haut de gamme, notamment les segments C et D, qui offrent des marges plus élevées. De plus, l'entreprise prévoit le développement de services liés aux nouveaux modes de financement automobile pour attirer la classe moyenne en croissance dans les pays émergents.
Nouvelle plateforme flexible et connectée :
Renault entend réduire les coûts de production et développer des modèles adaptés aux marchés internationaux, tout en tenant compte des besoins locaux. Pour ce faire, une nouvelle plateforme de production flexible sera déployée dans quatre régions clés : l'Amérique latine, l'Afrique du Nord, la Turquie et l'Inde. Cette plateforme sera capable de produire une gamme de véhicules de 4 à 5 mètres de long, répondant aux besoins de connectivité spécifiques à chaque marché.
Le Kardian, précurseur de la gamme :
Le premier modèle de cette stratégie internationale est le B-SUV Kardian, dont la production a déjà débuté au Brésil. Il marque le début de la montée en gamme de Renault, avec des caractéristiques telles qu'une boîte de vitesses automatique à double embrayage, une première mondiale pour Renault, et une gamme complète de technologies d'aide à la conduite.
Des modèles à venir :
Au-delà du Kardian, les futurs modèles de cette stratégie internationale se caractériseront par leur envergure croissante, avec un concept appelé "Niagara" qui préfigure ces futurs modèles. L'entreprise prévoit des annonces régulières pour ces nouveautés, mais souligne que les véhicules électriques ne seront pas inclus dans ce plan, ces productions restant principalement en Europe en raison de leurs coûts élevés.