Une recherche rapide sur Internet révèle une situation étonnante : il existe environ une cinquantaine de groupes automobiles chinois. Les noms familiers comme BYD, Geely, SAIC, Great Wall, BAIC, et DongFeng sont parmi les plus connus. Cependant, la plupart de ces groupes détiennent plusieurs marques. Certaines d'entre elles proposent une gamme de modèles digne de marques de renom telles que Mercedes et BMW lorsqu'elles étaient en concurrence acharnée pour occuper chaque sous-segment du marché. Cette diversification massive continue de croître rapidement, à un tel point qu'un tout nouveau SUV d'une nouvelle marque BYD peut ne pas encore figurer dans les listes officielles.
La question qui se pose est de savoir comment ce modèle économique peut être rentable. Les constructeurs chinois ont certes l'avantage d'opérer sur le marché intérieur le plus vaste du monde, tout en étendant leur présence à l'échelle mondiale. De plus, ils bénéficient d'une main-d'œuvre abordable et d'une expertise dans les technologies électriques. Cependant, le développement de centaines de variantes de modèles et de carrosseries différentes nécessite d'importants investissements.
La réponse à cette énigme est probablement que toutes ces marques et modèles ne sont pas nécessairement rentables, du moins pas toutes. L'intervention financière de l'État chinois est un facteur clé qui soutient l'industrie automobile chinoise. La Commission européenne a exprimé son souhait d'examiner de plus près cette question. La croissance effrénée de l'industrie automobile chinoise est préoccupante, d'autant plus que les consommateurs chinois, en raison de la crise sanitaire du Covid, adoptent une attitude plus prudente vis-à-vis de leurs dépenses.
La question qui se pose est de savoir si l'industrie automobile chinoise est en train de former une bulle économique qui pourrait éventuellement éclater. Les précédents récents, qu'il s'agisse de l'immobilier, de la technologie, du secteur bancaire ou financier, suggèrent que les bulles économiques finissent souvent par éclater. L'industrie automobile chinoise est-elle sur le point de faire "POP" ? Rien n'est impossible.
La question qui se pose est de savoir comment ce modèle économique peut être rentable. Les constructeurs chinois ont certes l'avantage d'opérer sur le marché intérieur le plus vaste du monde, tout en étendant leur présence à l'échelle mondiale. De plus, ils bénéficient d'une main-d'œuvre abordable et d'une expertise dans les technologies électriques. Cependant, le développement de centaines de variantes de modèles et de carrosseries différentes nécessite d'importants investissements.
La réponse à cette énigme est probablement que toutes ces marques et modèles ne sont pas nécessairement rentables, du moins pas toutes. L'intervention financière de l'État chinois est un facteur clé qui soutient l'industrie automobile chinoise. La Commission européenne a exprimé son souhait d'examiner de plus près cette question. La croissance effrénée de l'industrie automobile chinoise est préoccupante, d'autant plus que les consommateurs chinois, en raison de la crise sanitaire du Covid, adoptent une attitude plus prudente vis-à-vis de leurs dépenses.
La question qui se pose est de savoir si l'industrie automobile chinoise est en train de former une bulle économique qui pourrait éventuellement éclater. Les précédents récents, qu'il s'agisse de l'immobilier, de la technologie, du secteur bancaire ou financier, suggèrent que les bulles économiques finissent souvent par éclater. L'industrie automobile chinoise est-elle sur le point de faire "POP" ? Rien n'est impossible.