NARSA : "C'est normal d'échouer"
L'augmentation du nombre de questions de 600 à 1000 et la difficulté accrue des épreuves plongent les candidats dans l'incompréhension et la frustration. Le sentiment d'injustice est d'autant plus grand que la responsabilité est renvoyée entre la NARSA et les auto-écoles.
Le Directeur Général de la NARSA, Nasser Boulajoul, minimise la situation en qualifiant le taux d'échec élevé de "normal" pour un nouveau système. Il demande aux candidats de s'adapter et de patienter une semaine pour une meilleure évaluation.
Dahane Bouberd, président de l'Union nationale des associations des propriétaires d'auto-écoles, se dédouane de toute responsabilité et affirme que le rôle des auto-écoles se limite à l'enseignement de la conduite.
Le flou et l'absence de communication claire de la part des autorités compétentes accentuent la frustration des candidats. La question de l'adaptation du système à la réalité des conducteurs marocains se pose avec acuité.
Le Directeur Général de la NARSA, Nasser Boulajoul, minimise la situation en qualifiant le taux d'échec élevé de "normal" pour un nouveau système. Il demande aux candidats de s'adapter et de patienter une semaine pour une meilleure évaluation.
Auto-écoles : "Nous ne sommes responsables que de l'apprentissage de la conduite"
Dahane Bouberd, président de l'Union nationale des associations des propriétaires d'auto-écoles, se dédouane de toute responsabilité et affirme que le rôle des auto-écoles se limite à l'enseignement de la conduite.
Le flou et l'absence de communication claire de la part des autorités compétentes accentuent la frustration des candidats. La question de l'adaptation du système à la réalité des conducteurs marocains se pose avec acuité.