Un accord toujours en vigueur sans remise en question, jusqu'à preuve du contraire et officielle
Une rumeur persistante circule selon laquelle l’administration américaine de Donald Trump aurait décidé de renégocier l’accord de libre-échange (ALE) signé en 2004 avec le Maroc. Or, cette information est totalement infondée. Aucune déclaration officielle ni initiative diplomatique ne confirme une quelconque volonté de Washington d’entamer des discussions en ce sens.
Contrairement aux affirmations relayées par certains médias, l’Office of Trade Agreements Negotiation and Compliance (TANC) n’a engagé aucun processus de renégociation de cet accord commercial. Aucune annonce émanant du département du Commerce des États-Unis, dirigé par Howard Lutnick, ni du ministère marocain de l’Industrie et du Commerce ne vient corroborer cette allégation.
Bien au contraire, les relations commerciales entre les deux pays se renforcent. L’ALE, entré en vigueur en 2006, a permis une nette progression des échanges bilatéraux, notamment dans les secteurs agricoles, textiles et automobiles. Washington voit en Rabat un partenaire stratégique stable en Afrique du Nord, et toute modification de l’accord nécessiterait des consultations approfondies, qui n’ont pas eu lieu.
L’argument selon lequel les États-Unis chercheraient à limiter le contournement des taxes imposées à la Chine via le Maroc ne repose sur aucun élément concret. Certes, la montée en puissance des industriels chinois au Maroc, notamment dans le secteur des batteries électriques, suscite des discussions géopolitiques. Cependant, cela ne signifie pas que Washington souhaite remettre en question l’ALE marocain, qui bénéficie largement aux entreprises américaines installées dans le Royaume.
D’ailleurs, contrairement à ce qui est affirmé, la Corée du Sud n’a pas suspendu ses investissements au Maroc. Plusieurs entreprises coréennes continuent d’y développer leurs projets, notamment dans les nouvelles technologies et l’automobile.
L’accord de libre-échange entre le Maroc et les États-Unis demeure un pilier des relations économiques entre les deux pays. À ce jour, aucune source officielle, ni à Rabat ni à Washington, n’a évoqué la moindre renégociation. Il est donc essentiel de vérifier l’authenticité des informations avant de relayer des rumeurs non fondées.
Contrairement aux affirmations relayées par certains médias, l’Office of Trade Agreements Negotiation and Compliance (TANC) n’a engagé aucun processus de renégociation de cet accord commercial. Aucune annonce émanant du département du Commerce des États-Unis, dirigé par Howard Lutnick, ni du ministère marocain de l’Industrie et du Commerce ne vient corroborer cette allégation.
Bien au contraire, les relations commerciales entre les deux pays se renforcent. L’ALE, entré en vigueur en 2006, a permis une nette progression des échanges bilatéraux, notamment dans les secteurs agricoles, textiles et automobiles. Washington voit en Rabat un partenaire stratégique stable en Afrique du Nord, et toute modification de l’accord nécessiterait des consultations approfondies, qui n’ont pas eu lieu.
L’argument selon lequel les États-Unis chercheraient à limiter le contournement des taxes imposées à la Chine via le Maroc ne repose sur aucun élément concret. Certes, la montée en puissance des industriels chinois au Maroc, notamment dans le secteur des batteries électriques, suscite des discussions géopolitiques. Cependant, cela ne signifie pas que Washington souhaite remettre en question l’ALE marocain, qui bénéficie largement aux entreprises américaines installées dans le Royaume.
D’ailleurs, contrairement à ce qui est affirmé, la Corée du Sud n’a pas suspendu ses investissements au Maroc. Plusieurs entreprises coréennes continuent d’y développer leurs projets, notamment dans les nouvelles technologies et l’automobile.
L’accord de libre-échange entre le Maroc et les États-Unis demeure un pilier des relations économiques entre les deux pays. À ce jour, aucune source officielle, ni à Rabat ni à Washington, n’a évoqué la moindre renégociation. Il est donc essentiel de vérifier l’authenticité des informations avant de relayer des rumeurs non fondées.