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Par Ali Bouallou
Aujourd’hui plus que n’importe quel autre moment de l’histoire du Maroc, le peuple marocain doit s’unir contre l’infamie et l’ignorance des malheureux de la foi qui ont oublié, à l’insu de leur plein gré car opportunistes, que la religion se pratique et se défend dans la joie et non dans la frustration et la haine.
Ces croyants malheureux prétendent détenir la vérité absolue et vont jusqu’à sioniser tout marocain de confession juive ayant défendu, depuis sa prise de haute fonction, les intérêts suprêmes de son pays y compris l’établissement d’une Palestine libre et souveraine.
Les insultes proférées à l’encontre de M. André Azoulay pendant les manifestations de soutien au Hamas, et non à la Palestine, ont ébranlé l’ensemble de la communauté marocaine d’ici et d’ailleurs.
Les illuminés de la foi jurent par l’opportunisme politique, le blocage à tout-va du pays et son assombrissement, et rejettent la commanderie des croyants qui garantit le vivre-ensemble à la marocaine que nous jalousent les égarés en situation de total échec dans certaines régions du globe.
Tout marocain libre de penser et d’agir, qui se respecte et qui respecte la constitution de son pays, et même celui qui reçoit des financements étrangers pour des objectifs obscures, sait pertinemment que l’identité juive est une composante essentielle de la consubstantialité marocaine. C’est écrit noir sur blanc dans l’avant-propos de la constitution de 2011.
Il n’existe pas un seul marocain musulman qui n’ait pas eu un voisin, un ami ou un membre de sa famille de confession juive. Et de rappeler les centaines voire milliers de mariages entre musulmans et juifs au Maroc depuis la nuit des temps car rien n’arrête l’amour fort des êtres humains.
Il ne peut y avoir de complaisance avec les pratiquants de la foi malheureuse. Tout marocain de confession musulmane se doit de se révolter contre la motivation dangereuse derrière les amalgames intentionnels et anticonstitutionnels.
Rien ne peut garantir l’apaisement au Maroc sinon la foi joyeuse. Il y va de la survie de la nation marocaine et de son intégrité morale.
Ces croyants malheureux prétendent détenir la vérité absolue et vont jusqu’à sioniser tout marocain de confession juive ayant défendu, depuis sa prise de haute fonction, les intérêts suprêmes de son pays y compris l’établissement d’une Palestine libre et souveraine.
Les insultes proférées à l’encontre de M. André Azoulay pendant les manifestations de soutien au Hamas, et non à la Palestine, ont ébranlé l’ensemble de la communauté marocaine d’ici et d’ailleurs.
Les illuminés de la foi jurent par l’opportunisme politique, le blocage à tout-va du pays et son assombrissement, et rejettent la commanderie des croyants qui garantit le vivre-ensemble à la marocaine que nous jalousent les égarés en situation de total échec dans certaines régions du globe.
Tout marocain libre de penser et d’agir, qui se respecte et qui respecte la constitution de son pays, et même celui qui reçoit des financements étrangers pour des objectifs obscures, sait pertinemment que l’identité juive est une composante essentielle de la consubstantialité marocaine. C’est écrit noir sur blanc dans l’avant-propos de la constitution de 2011.
Il n’existe pas un seul marocain musulman qui n’ait pas eu un voisin, un ami ou un membre de sa famille de confession juive. Et de rappeler les centaines voire milliers de mariages entre musulmans et juifs au Maroc depuis la nuit des temps car rien n’arrête l’amour fort des êtres humains.
Alors pourquoi attaquer impudemment M. André Azoulay et à travers lui toute la communauté marocaine de confession juive ?
Quel est l’objectif inavoué d’un tel affront ?
Pourquoi et pour qui les malheureux de la foi jouent-ils le jeu de la confrontation systématique avec les symboles et les initiatives de l’Etat ?
Il ne peut y avoir de complaisance avec les pratiquants de la foi malheureuse. Tout marocain de confession musulmane se doit de se révolter contre la motivation dangereuse derrière les amalgames intentionnels et anticonstitutionnels.
Rien ne peut garantir l’apaisement au Maroc sinon la foi joyeuse. Il y va de la survie de la nation marocaine et de son intégrité morale.