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Veolia encaisse 1,68 milliard de dirhams :
En effet, Veolia a vendu près de 99% du capital de Lydec à la Société régionale multiservices Casablanca-Settat (SRM), pour un montant avoisinant les 1,68 milliard de dirhams (environ 160 millions d'euros). Une somme rondelette qui témoigne de l'importance de cet actif dans le portefeuille du géant français de l'environnement.
Derrière cette cession se cache cependant une réalité plus complexe. La valeur de la transaction a en effet été impactée par la fin prochaine, en 2027, du contrat de gestion déléguée de Lydec. Un élément qui a conduit à une baisse du prix par rapport aux évaluations réalisées en 2022.
Malgré ce changement de propriétaire, Veolia restera un partenaire majeur du Maroc, notamment dans les activités de distribution d'eau et d'électricité à Rabat, Tanger et Tétouan. Un gage de la poursuite de la collaboration entre le groupe français et le royaume chérifien.
Cette transaction historique marque une nouvelle étape dans l'évolution de la gouvernance de Lydec, qui passe sous son troisième propriétaire après Suez et Veolia. Une transition qui s'inscrit dans la volonté du Maroc de reprendre le contrôle de ses services publics stratégiques, tout en s'appuyant sur l'expertise de ses partenaires internationaux.
Un virage à ne pas manquer pour Veolia, qui encaisse une belle plus-value sur cette cession, tout en préservant ses activités dans le royaume. Une opération gagnante-gagnante qui témoigne de la dynamique positive des relations économiques entre la France et le Maroc.
Derrière cette cession se cache cependant une réalité plus complexe. La valeur de la transaction a en effet été impactée par la fin prochaine, en 2027, du contrat de gestion déléguée de Lydec. Un élément qui a conduit à une baisse du prix par rapport aux évaluations réalisées en 2022.
Malgré ce changement de propriétaire, Veolia restera un partenaire majeur du Maroc, notamment dans les activités de distribution d'eau et d'électricité à Rabat, Tanger et Tétouan. Un gage de la poursuite de la collaboration entre le groupe français et le royaume chérifien.
Cette transaction historique marque une nouvelle étape dans l'évolution de la gouvernance de Lydec, qui passe sous son troisième propriétaire après Suez et Veolia. Une transition qui s'inscrit dans la volonté du Maroc de reprendre le contrôle de ses services publics stratégiques, tout en s'appuyant sur l'expertise de ses partenaires internationaux.
Un virage à ne pas manquer pour Veolia, qui encaisse une belle plus-value sur cette cession, tout en préservant ses activités dans le royaume. Une opération gagnante-gagnante qui témoigne de la dynamique positive des relations économiques entre la France et le Maroc.