Quand la Chine roule vers le sommet de l’automobile mondiale
Avec quatre marques sous son aile (BYD, Denza, Fang Cheng Bao, Yangwang), le constructeur a dépassé des mastodontes comme Ford et General Motors, et les prévisions pour 2025 sont encore plus ambitieuses. Les analystes estiment que BYD pourrait livrer entre 5,1 et 6 millions de véhicules cette année, avec une part croissante des ventes sur les marchés internationaux grâce à l’expansion de ses usines à l’étranger.
L’objectif ultime de BYD est clair : devenir le numéro un mondial d’ici la fin de la décennie, avec un chiffre de 10 millions de véhicules par an dans le viseur. Une ambition qui reflète la puissance et la stratégie du marché chinois, désormais leader dans la transition électrique.
De son côté, Xiaomi, connu pour ses smartphones, s’impose également comme un acteur prometteur de l’automobile. Sa berline SU7, lancée en avril 2024, a dépassé les attentes avec près de 140 000 unités vendues en moins d’un an. En 2025, Xiaomi compte sur le lancement de son crossover YU7 et l’expansion de son usine de Pékin pour atteindre son objectif de 300 000 livraisons, voire davantage. À long terme, Xiaomi vise le Top 5 mondial des constructeurs, avec une stratégie axée sur l’innovation et l’exportation.
Ces deux entreprises incarnent la montée en puissance de la Chine dans l’industrie automobile, redéfinissant les équilibres mondiaux et bousculant les constructeurs historiques. Leur progression rapide illustre non seulement la demande croissante pour les véhicules électriques, mais aussi la capacité des constructeurs chinois à innover et à s’imposer sur la scène internationale.
L’objectif ultime de BYD est clair : devenir le numéro un mondial d’ici la fin de la décennie, avec un chiffre de 10 millions de véhicules par an dans le viseur. Une ambition qui reflète la puissance et la stratégie du marché chinois, désormais leader dans la transition électrique.
De son côté, Xiaomi, connu pour ses smartphones, s’impose également comme un acteur prometteur de l’automobile. Sa berline SU7, lancée en avril 2024, a dépassé les attentes avec près de 140 000 unités vendues en moins d’un an. En 2025, Xiaomi compte sur le lancement de son crossover YU7 et l’expansion de son usine de Pékin pour atteindre son objectif de 300 000 livraisons, voire davantage. À long terme, Xiaomi vise le Top 5 mondial des constructeurs, avec une stratégie axée sur l’innovation et l’exportation.
Ces deux entreprises incarnent la montée en puissance de la Chine dans l’industrie automobile, redéfinissant les équilibres mondiaux et bousculant les constructeurs historiques. Leur progression rapide illustre non seulement la demande croissante pour les véhicules électriques, mais aussi la capacité des constructeurs chinois à innover et à s’imposer sur la scène internationale.