Les applications de transport alternatif se sont solidement implantées dans des villes majeures telles que Casablanca, Rabat et Marrakech, devenant une source de revenus cruciale pour de nombreux jeunes. Face à cette croissance, les acteurs du secteur réclament un cadre réglementaire afin de progresser légalement et sans entraves.
Le secrétaire général du Syndicat Démocratique des Transports (SDT), Samir Faraby, qualifie cette situation de "lutte" entamée en 2018. Il souligne le soutien du syndicat envers les chauffeurs professionnels ayant opté pour les VTC, délaissant les taxis traditionnels. Faraby explique avoir soumis un projet d'arrêté réglementant le transport via les applications, démarche toujours en cours après des démarches auprès des autorités locales et du ministère du Transport.
Faraby regrette les obstacles persistants, notamment de la part des chauffeurs de taxis, et estime que la réglementation devient plus que nécessaire avec les prochains événements sportifs tels que la CAN et la Coupe du monde. Il souligne le retard du Maroc par rapport à d'autres pays africains qui ont mis en place des cadres réglementaires malgré des déficits en infrastructures.
Le syndicaliste souligne que les VTC contribuent fiscalement tout en faisant face à des blocages, déplorant le manque de développement dans ce secteur au Maroc. Il pointe du doigt des "lobbies" opposés à la régulation, accusant ces groupes de vouloir éviter toute concurrence dans le secteur.
Le secrétaire général du Syndicat Démocratique des Transports (SDT), Samir Faraby, qualifie cette situation de "lutte" entamée en 2018. Il souligne le soutien du syndicat envers les chauffeurs professionnels ayant opté pour les VTC, délaissant les taxis traditionnels. Faraby explique avoir soumis un projet d'arrêté réglementant le transport via les applications, démarche toujours en cours après des démarches auprès des autorités locales et du ministère du Transport.
Faraby regrette les obstacles persistants, notamment de la part des chauffeurs de taxis, et estime que la réglementation devient plus que nécessaire avec les prochains événements sportifs tels que la CAN et la Coupe du monde. Il souligne le retard du Maroc par rapport à d'autres pays africains qui ont mis en place des cadres réglementaires malgré des déficits en infrastructures.
Le syndicaliste souligne que les VTC contribuent fiscalement tout en faisant face à des blocages, déplorant le manque de développement dans ce secteur au Maroc. Il pointe du doigt des "lobbies" opposés à la régulation, accusant ces groupes de vouloir éviter toute concurrence dans le secteur.