Affaire à suivre
Les centrales syndicales s'orientent vers l'exécution de leur menace de "paralyser" le secteur de l'éducation nationale à travers l'organisation d'une série de grèves. Ainsi, des grèves nationales ont été annoncées pour les 1ᵉʳ, 2, 7, 8 et 9 novembre. Selon le SG de la Fédération nationale de l'enseignement, affilée à la CDT, cette réunion a rassemblé les syndicalistes au chef du gouvernement lundi, ce dernier espérant absorber la colère de ces derniers vis-à-vis des décisions de Chakib Benmoussa.
Le chef de gouvernement, Aziz Akhannouch, a tenu ce lundi à Rabat une réunion cruciale avec les syndicats d'enseignement. Cette rencontre, qui s'est tenue en présence du ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, ainsi que du ministre de l'Intégration économique, de la Petite entreprise, de l'Emploi et des Compétences, avait pour objectif principal l'amélioration du statut unifié des enseignants.
Les principaux syndicats du secteur, à savoir la Fédération nationale de l'éducation UMT, le Syndicat national de l'éducation CDT, la Fédération libre de l'éducation UGTM, et le Syndicat national de l'éducation FDT, étaient présents et ont activement participé à la discussion, indique un communiqué.
Le chef de gouvernement, Aziz Akhannouch, a tenu ce lundi à Rabat une réunion cruciale avec les syndicats d'enseignement. Cette rencontre, qui s'est tenue en présence du ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, ainsi que du ministre de l'Intégration économique, de la Petite entreprise, de l'Emploi et des Compétences, avait pour objectif principal l'amélioration du statut unifié des enseignants.
Les principaux syndicats du secteur, à savoir la Fédération nationale de l'éducation UMT, le Syndicat national de l'éducation CDT, la Fédération libre de l'éducation UGTM, et le Syndicat national de l'éducation FDT, étaient présents et ont activement participé à la discussion, indique un communiqué.