Bouazza Kharrati, président de la Fédération marocaine des Droits du consommateur, a récemment tiré la sonnette d’alarme sur la nécessité de clarifier la qualité de la viande rouge au Maroc. Dans une déclaration accordée à un quotidien national (Alalam), il a rappelé qu’avant 2012, un système d’estampillage par couleurs permettait aux consommateurs de mieux identifier la qualité de la viande.
À l’époque, les viandes étaient marquées par trois couleurs distinctes : verte, rouge et bleue. Ce code visuel facilitait la distinction entre différents niveaux de qualité. Cependant, Kharrati affirme que des lobbies ont progressivement modifié ce système en remplaçant la couleur verte par un estampillage brun rectangulaire, indiquant que la viande a subi un contrôle sanitaire, tandis que le marquage rouge a été transformé en carré, compliquant ainsi la tâche du consommateur pour distinguer la qualité réelle des produits carnés.
Ce changement aurait engendré une opacité accrue sur le marché, rendant difficile pour le citoyen lambda de savoir précisément ce qu’il achète. Une telle situation, selon Kharrati, profite avant tout à certains acteurs économiques qui exploitent ce flou réglementaire pour écouler leurs produits sans que le consommateur ne puisse véritablement faire un choix éclairé.
Par ailleurs, le président de la Fédération marocaine des Droits du consommateur s’est également exprimé sur la flambée persistante des prix du poulet, du poisson et des œufs. Il attribue ces hausses aux manœuvres de lobbies dont l’objectif premier serait d’accumuler des profits substantiels, au détriment du pouvoir d’achat des Marocains. Une situation qui pèse lourdement sur les ménages, déjà éprouvés par une inflation généralisée touchant divers produits de première nécessité.
Face à ces constats, Kharrati plaide pour un retour à un système de classification des viandes plus transparent et accessible au consommateur, afin de garantir son droit à une information claire et fiable sur ce qu’il consomme. Il appelle également les autorités compétentes à renforcer le contrôle des circuits de distribution et à mettre en place des mesures plus strictes pour limiter la spéculation sur les produits alimentaires de base.
Alors que le pouvoir d’achat des Marocains continue d’être mis à rude épreuve, la question de la transparence dans le secteur agroalimentaire s’impose comme un enjeu crucial. Reste à voir si les autorités prendront en compte ces préoccupations pour rétablir une certaine équité sur le marché.
À l’époque, les viandes étaient marquées par trois couleurs distinctes : verte, rouge et bleue. Ce code visuel facilitait la distinction entre différents niveaux de qualité. Cependant, Kharrati affirme que des lobbies ont progressivement modifié ce système en remplaçant la couleur verte par un estampillage brun rectangulaire, indiquant que la viande a subi un contrôle sanitaire, tandis que le marquage rouge a été transformé en carré, compliquant ainsi la tâche du consommateur pour distinguer la qualité réelle des produits carnés.
Ce changement aurait engendré une opacité accrue sur le marché, rendant difficile pour le citoyen lambda de savoir précisément ce qu’il achète. Une telle situation, selon Kharrati, profite avant tout à certains acteurs économiques qui exploitent ce flou réglementaire pour écouler leurs produits sans que le consommateur ne puisse véritablement faire un choix éclairé.
Par ailleurs, le président de la Fédération marocaine des Droits du consommateur s’est également exprimé sur la flambée persistante des prix du poulet, du poisson et des œufs. Il attribue ces hausses aux manœuvres de lobbies dont l’objectif premier serait d’accumuler des profits substantiels, au détriment du pouvoir d’achat des Marocains. Une situation qui pèse lourdement sur les ménages, déjà éprouvés par une inflation généralisée touchant divers produits de première nécessité.
Face à ces constats, Kharrati plaide pour un retour à un système de classification des viandes plus transparent et accessible au consommateur, afin de garantir son droit à une information claire et fiable sur ce qu’il consomme. Il appelle également les autorités compétentes à renforcer le contrôle des circuits de distribution et à mettre en place des mesures plus strictes pour limiter la spéculation sur les produits alimentaires de base.
Alors que le pouvoir d’achat des Marocains continue d’être mis à rude épreuve, la question de la transparence dans le secteur agroalimentaire s’impose comme un enjeu crucial. Reste à voir si les autorités prendront en compte ces préoccupations pour rétablir une certaine équité sur le marché.