Dans l'actualité : L'outil innovant de l'AIE
L'AIE, dans un effort pour guider les investissements dans l'hydrogène vert, a publié une carte interactive. Cet outil novateur fournit des estimations précieuses sur les coûts de production de l'hydrogène vert dans diverses régions du monde, avec un horizon fixé à 2030. Cette carte est un pas en avant significatif pour évaluer les zones géographiques les plus prometteuses pour l'investissement dans l'hydrogène vert.
Les critères de sélection des sites pour la production optimale d'hydrogène vert dépassent la simple considération des conditions météorologiques. Bien que les régions ventées et ensoleillées soient attrayantes pour les coûts réduits d'investissement et d'exploitation, une approche plus nuancée est conseillée. L'AIE recommande de privilégier des sites offrant à la fois un fort potentiel éolien et solaire. Bien que cette combinaison puisse impliquer des coûts d'investissement initiaux plus élevés, elle peut conduire à une production plus stable et économiquement viable à long terme, comme le souligne le Global Hydrogen Review de l'AIE.
Chine et Argentine :
Selon la carte interactive de l'AIE, des régions telles que le nord et l'ouest de la Chine et le sud de l'Argentine se distinguent particulièrement pour la production d'hydrogène vert à bas coût. Ces zones bénéficient de conditions favorables, comme de faibles coûts d'investissement et d'exploitation en Chine, et un potentiel éolien exceptionnel en Argentine. L'agence prévoit que d'ici 2030, l'hydrogène vert pourrait y être produit pour environ 1,5 $/kg.
Autres zones d'intérêt :
D'autres régions, comme l'île de Terre-Neuve au Canada, l'ouest de l'Inde, et le Sahara occidental, ainsi que certaines zones en Europe, telles que l'ouest de l'Islande, le nord du Royaume-Uni et le nord et l'ouest de la Norvège, sont également identifiées comme des sites prometteurs pour la production d'hydrogène vert à faible coût. En revanche, des zones comme le Japon, le nord et l'est de la Russie, et l'Asie du Sud-Est, à quelques exceptions près, semblent moins attrayantes en raison des coûts élevés prévus de l'hydrogène.
Le cas de l'Afrique :
Malgré son fort potentiel photovoltaïque, l'Afrique ne se démarque pas particulièrement, selon la carte de l'AIE. Cela, malgré l'annonce récente par l'UE d'un investissement d'un milliard d'euros en Namibie, un pays où la production d'hydrogène vert est prévue comme coûteuse.
Les critères de sélection des sites pour la production optimale d'hydrogène vert dépassent la simple considération des conditions météorologiques. Bien que les régions ventées et ensoleillées soient attrayantes pour les coûts réduits d'investissement et d'exploitation, une approche plus nuancée est conseillée. L'AIE recommande de privilégier des sites offrant à la fois un fort potentiel éolien et solaire. Bien que cette combinaison puisse impliquer des coûts d'investissement initiaux plus élevés, elle peut conduire à une production plus stable et économiquement viable à long terme, comme le souligne le Global Hydrogen Review de l'AIE.
Chine et Argentine :
Selon la carte interactive de l'AIE, des régions telles que le nord et l'ouest de la Chine et le sud de l'Argentine se distinguent particulièrement pour la production d'hydrogène vert à bas coût. Ces zones bénéficient de conditions favorables, comme de faibles coûts d'investissement et d'exploitation en Chine, et un potentiel éolien exceptionnel en Argentine. L'agence prévoit que d'ici 2030, l'hydrogène vert pourrait y être produit pour environ 1,5 $/kg.
Autres zones d'intérêt :
D'autres régions, comme l'île de Terre-Neuve au Canada, l'ouest de l'Inde, et le Sahara occidental, ainsi que certaines zones en Europe, telles que l'ouest de l'Islande, le nord du Royaume-Uni et le nord et l'ouest de la Norvège, sont également identifiées comme des sites prometteurs pour la production d'hydrogène vert à faible coût. En revanche, des zones comme le Japon, le nord et l'est de la Russie, et l'Asie du Sud-Est, à quelques exceptions près, semblent moins attrayantes en raison des coûts élevés prévus de l'hydrogène.
Le cas de l'Afrique :
Malgré son fort potentiel photovoltaïque, l'Afrique ne se démarque pas particulièrement, selon la carte de l'AIE. Cela, malgré l'annonce récente par l'UE d'un investissement d'un milliard d'euros en Namibie, un pays où la production d'hydrogène vert est prévue comme coûteuse.