Le Maroc a bien une intelligence Diplomatique
Le Maroc n'a pas participé récemment à deux sommets internationaux importants organisés par des pays européens, suscitant de nombreux questionnements sur sa stratégie de politique étrangère. Le quotidien Al Alam a notamment mis en lumière cette absence lors du sommet du G7 en Italie, où étaient présents des dirigeants de pays maghrébins comme la Tunisie, l'Algérie et la Mauritanie. De plus, le Maroc n'a pas assisté à la Conférence internationale de la paix pour l'Ukraine en Suisse, qui a réuni des représentants de plus d'une centaine de pays.
Cette double absence a été interprétée de différentes manières. Certains observateurs, proches des thèses systématiquement hostiles, estiment que le Maroc a été marginalisé par les organisateurs de ces événements, ce qui pourrait indiquer une mise à l'écart de la scène diplomatique internationale. Cependant, d'autres analystes plus objectifs suggèrent que le Maroc, en choisissant de ne pas participer, affirme sa position plus neutre dans le conflit entre la Russie et l'Ukraine. Pour ces derniers, cette neutralité marque une position marocaine plus claire et plus audacieuse comparée à celle de l'Algérie, qui tente de concilier ses intérêts avec ceux de l'Occident et de la Russie.
Il est important de comprendre le contexte global pour saisir les implications de cette absence. Le sommet du G7, par exemple, est un rassemblement des grandes puissances économiques mondiales où sont discutés des enjeux globaux tels que l'économie, la sécurité et l'environnement. La présence des pays du Maghreb, en particulier, reflète l'importance de la région dans les discussions internationales. L'absence du Maroc à ce sommet ne peut être, en aucun cas, perçue comme une perte d'opportunité pour influencer ces discussions vu les excellentes relations avec tous les membres du G7.
De même, la Conférence de la paix pour l'Ukraine est un forum où sont examinées les voies possibles pour résoudre le conflit en cours entre la Russie et l'Ukraine. La non-participation du Maroc pourrait être interprétée comme une volonté de ne pas s'impliquer dans les affaires internes de la région, respectant ainsi une position de neutralité stricte.
En résumé, l'absence du Maroc à ces deux événements internationaux peut être vue comme une affirmation de sa politique étrangère indépendante et neutre. Dans un monde où les alliances et les positions diplomatiques jouent un rôle crucial, la stratégie du Maroc reste d'une stabilité permanente et ne peut être sujette à diverses interprétations et analyses.
Cette double absence a été interprétée de différentes manières. Certains observateurs, proches des thèses systématiquement hostiles, estiment que le Maroc a été marginalisé par les organisateurs de ces événements, ce qui pourrait indiquer une mise à l'écart de la scène diplomatique internationale. Cependant, d'autres analystes plus objectifs suggèrent que le Maroc, en choisissant de ne pas participer, affirme sa position plus neutre dans le conflit entre la Russie et l'Ukraine. Pour ces derniers, cette neutralité marque une position marocaine plus claire et plus audacieuse comparée à celle de l'Algérie, qui tente de concilier ses intérêts avec ceux de l'Occident et de la Russie.
Il est important de comprendre le contexte global pour saisir les implications de cette absence. Le sommet du G7, par exemple, est un rassemblement des grandes puissances économiques mondiales où sont discutés des enjeux globaux tels que l'économie, la sécurité et l'environnement. La présence des pays du Maghreb, en particulier, reflète l'importance de la région dans les discussions internationales. L'absence du Maroc à ce sommet ne peut être, en aucun cas, perçue comme une perte d'opportunité pour influencer ces discussions vu les excellentes relations avec tous les membres du G7.
De même, la Conférence de la paix pour l'Ukraine est un forum où sont examinées les voies possibles pour résoudre le conflit en cours entre la Russie et l'Ukraine. La non-participation du Maroc pourrait être interprétée comme une volonté de ne pas s'impliquer dans les affaires internes de la région, respectant ainsi une position de neutralité stricte.
En résumé, l'absence du Maroc à ces deux événements internationaux peut être vue comme une affirmation de sa politique étrangère indépendante et neutre. Dans un monde où les alliances et les positions diplomatiques jouent un rôle crucial, la stratégie du Maroc reste d'une stabilité permanente et ne peut être sujette à diverses interprétations et analyses.