Pour le Maroc, pour l'Afrique, et pour le monde qui court inexorablement à la catastrophe, par un manque évident d'anthropologie et de connaissances en tous genres.

Il est certain que l'on assiste à un nouvel ordre mondial, les cartes sont redistribuées sur l'échiquier mondial. Et, comme toujours, les États sont en panique, tous évoquant le cas de force majeure pour faire ou défaire ceci, ou décider cela. Et on dirait que chaque 70-80 ans, les humains ont commercé de manière asymétrique, tombent dans une dépression économique et forcent les peuples à guerroyer, après avoir échoué socialement, diplomatiquement, militairement, économiquement.

Le monde court vers une Troisième Guerre mondiale, après cette guerre froide 2.0, avec un scénario qui s'avère être une combinaison des situations de la Première et de la Seconde ... 1914 à 1918, 1939 à 1945.

Quand on vous dit qu'on évolue ! Même Nostradamus, qui prédisait beaucoup d'événements internationaux il y a des siècles de cela, n'aura pas eu de visions pour après 2025. Il faut agir. Et vite. Au Maroc, nous pouvons agir simplement, pour des bénéfices exponentiels.

Le scrolling a malheureusement frappé beaucoup d'êtres humains. La démarche de zombies avec. Cette nouvelle (très) mauvaise habitude de ne plus se séparer des écrans, de perdre en concentration et en sociabilité. Partout, de tous âges. La faute n'est pas aux jeunes que l'on fait grandir avec, dès le plus jeune âge.

Il est bon de savoir que les écrans, sur un organisme de moins de 22 ans, est l'équivalent de la cocaïne pour l'individu majeur.

Rien que ça.
Enfin, saviez-vous que les enfants des PDG des grandes entreprises telles que Facebook ont scolarisé leurs enfants dans une école suissesse où les écrans sont inexistants ? Pourquoi, selon vous ?

Il est important que, au bas mot, toutes les Marocaines et tous les Marocains soient informés de ce qui suit.

En effet, il s'agit de l'argument juridique indiscutable de la marocanité du Sahara occidental, que le monde entier "cherche" depuis des décennies.

Ce que le monde a oublié et qui fait se permettre les médias étrangers de faire passer le glorieux, le millénaire Royaume du Maroc pour un méchant "illégitime", dans "l'illégalité", qui "annexe".

Ce que toute personne, aimant le Maroc, doit savoir est principalement l'existence de deux conventions internationales émanant d'un même organe de l'ONU, à savoir l'Union Internationale des Télécommunications (UIT).

Celle-ci est un organe de l'ONU dont les décisions ont un caractère obligatoire, qui s'impose à l'ensemble des pays membres.

Ses missions : L'UIT décide l'attribution internationale des fréquences radioélectriques et des orbites de satellite par la mise à jour d’un traité international. Il est donc illégal que la Chine ait accès au contrôle de fréquences aux États-Unis, et vice versa.

Cette mission est celle appliquée en 1952 pour le Maroc.

MALGRÉ LES PROTECTORATS, L'UIT RATTACHE POUR LA PREMIÈRE FOIS DANS LE DROIT INTERNATIONAL OCCIDENTAL LES PROVINCES DU SUD ESPAGNOLES AU MAROC DU NORD MAJORITAIREMENT FRANÇAIS SUR UNE CARTE ONUSIENNE.

Autre mission, le Règlement des radiocommunications et le développement de normes techniques, les Recommandations de l’UIT-R. Cela correspond à ce à quoi devait s'employer l'UIT en 1959 pour le Maroc.

C'EST ICI QUE LES PROVINCES DU SUD SONT RATTACHÉES AU MAROC INDÉPENDANT SUR UNE CARTE DE L'ONU.

Enfin, le Secteur du développement des télécommunications (UIT-D) encourage la coopération et la solidarité internationales en vue de fournir une assistance technique aux pays en développement et de créer, de développer et de perfectionner les équipements et les réseaux de télécommunication dans ces pays.

Cette partie correspond à la possibilité pour le Maroc de rattraper le retard de développement des provinces du Sud causé par l'enclavement international, dont la causé est liée à la présence de deux protectorats au fonctionnement distinct, donc pas homogénéisé. Un désenclavement opéré par le Maroc qui n'est plus seulement bénéfique à ses provinces, mais aussi aux pays du G5 Sahel. Et l'Algérie pourrait en bénéficier aussi ! D'ailleurs, quant à cette dernière, l'indépendance algérienne qui a pu opérer de Oujda, ville toujours marocaine, et dont les planqués qui ont volé le pouvoir à leurs populations sont issus du "clan d'Oujda". 

Ce que sont ces deux conventions, exactement :

-La Convention internationale des Télécommunications de 1952 par laquelle Espagne et France ont demandé la rétrocession de la souveraineté sur les communications dans la zone "discutée" ;
-La Convention internationale des Télécommunications de 1959 qui vient entériner - si celle de 1952 n'était pas suffisante - la nationalité du Sahara occidental.

En 1959, c'était à la demande d'un Maroc indépendant, qui s'attelait à faire accéder les autres pays africains - surtout les voisins - frères, que les 84 pays composant l'Union Internationale des Télécommunications (UIT) ont voté en faveur du rattachement de la carte du Sahara "espagnol" à celle du Maroc sous protectorat français.

Elle confirme une continuité sur le plan du droit international occidental post 1945, suivant celle du droit musulman pratiqué depuis neuf cents quatre-vingt-dix (990) années, avec l'avènement du malékisme et des Almoravides en 1035. Documents administratifs et fiscaux, entre autres, faisant foi.

Maintenant, CSS demande à ses lectrices et lecteurs de réfléchir à ce qui suit, en trois points. Un juriste plaide selon son interprétation des lois pour défendre au mieux les intérêts du client. Ce que font allègrement et précisément les grandes puissances de ce monde. Réfléchir avant d’agir.

Voilà pourquoi le Maroc en est une. Dans Sahara occidental, entre vérités étouffées et ambitions dévoilées :

QUAND LE DROIT INTERNATIONAL ET LA STRATEGIE REVELENT L'INVISIBLE, il est fait référence à une conférence à Paris de l’actuel SG de l'ONU, où, lorsqu'un Algérien a posé une question concernant le Sahara occidental, la réponse du SG aura été que « la décolonisation s'est terminée en 1975 ». Premier élément.

Le second élément est la présence des décisions juridiques onusiennes dans les années 1950 reconnaissant la souveraineté du Maroc, présentées précédemment, constituant le noyau de la Brochette onusienne citée dans l’essai. Car il y a toute une législation en faveur de l’affirmation de la marocanité du Sahara occidental.

Enfin, la date de la Marche verte n'est-elle pas 1975 ? Effectivement.
Donc l'initiative de génie du défunt roi Hassan II aura été entièrement dans la légalité de l'ONU ! Mieux encore. Ce grand visionnaire, accompagné par plus de 350.000 Marocains (sans compter les nombreux étrangers qui les ont accompagnés), eu égard au droit international public, a courageusement fait appliquer la norme onusienne !

Ceci est considérable à un cas pratique unique pour l'ONU.

La conclusion de cette histoire de 70ans est simple, comme bonjour.
Il faut impérativement relayer la présence de ces arguments qui mettront un terme à ce pseudo conflit du Sahara occidental qui n'a que trop duré, trop fait dépenser de richesses, versé trop de sang et déchiré des familles entières. Pourquoi les familles de l'Est du Maroc et de l'Ouest de l'Algérie sont déchirées par une frontière étanche et totalement opaque ? Pour ce soi-disant conflit qui n'en est définitivement plus un depuis la publication, en fin d'année dernière, de l'essai précité.

Scénario qui prouve la mauvaise foi de tous les anti-Sahara marocain. L’indifférence ? L’incompétence ? L’ignorance ? Pour CSS, Feu Hassan II n’a fait qu’appliquer la loi mieux que quiconque. Il méritait amplement sa place permanente au Conseil de Sécurité. Philippe de Villiers, réputé d’extrême droite, a relayé des paroles de Feu Hassan II lors d’échanges. Le défunt monarque le prévenait des effets terribles du Traité de Maastricht.

De ce fait, le Sahara occidental, "celui de l'Ouest", est marocain.

Il paraît évident que si on le sait, Son Excellence Monsieur Omar Hilale, représentant du Royaume auprès de l'ONU, sera indubitablement équipé pour faire voter une résolution par le Conseil de Sécurité de ladite ONU. Au mieux, au plus vite. Le Maroc n'a que trop accordé de temps, d'attention, d'énergie mais surtout d'argent et de vies pour que les autres reconnaissent son Sahara historique. Du moins, ce qu’il en reste.

Il est maintenant grand temps de prendre le temps d'aller voir, pas forcément dans le livre, mais sur internet, ou même via une IA, si les allégations présentées ici sont véridiques ou non. Le Maroc ne doit être redevable de personne pour faire reconnaître son Sahara.

Ce sera en accord total avec le droit international si les votes pour le Sahara marocain sont unanimes au Conseil de Sécurité. Car sinon, pourquoi l'ONU ne fait pas appliquer ses propres lois ?

En 1952, on pourrait dire que le protectorat était toujours de mise, malgré une demande faite par les deux responsables des protectorats au Maroc. Mais, en 1959, c'est un Maroc souverain et indépendant qui demande, finalement une protocolaire confirmation !

Nous sommes à une année charnière de l'Histoire. Il faut saisir quelconques opportunités cohérentes. CSS est convaincu que tous doivent connaître l'existence de ces documents internationaux, réunis dans l'ouvrage précité sous le nom de Brochette onusienne, dont les décisions prises S'IMPOSENT A TOUS.

Maintenant que vous savez, vous pouvez dire aux pays ne connaissant que le droit occidental que "Sahra maghribia". Le monde entier peut le dire légitimement.

La boucle est bouclée.


Par Constant San Sophism