Il a tout vu. Les robots qui dansent, les startups qui promettent de sauver l’Afrique en six mois, les conférences où l’on parle de disruption avec des slides datant de 2019. Il a tout lu. Les dossiers de presse, les slogans inspirants, les promesses d’impact à trois zéros. Et il a tout entendu. Les fondateurs visionnaires, les investisseurs bienveillants, les experts qui vous expliquent que si vous n’avez pas encore intégré une IA dans votre vie privée, c’est que vous êtes déjà dépassé.
Alors il a pris son carnet. Il a gribouillé. Il a levé un sourcil. Et surtout, il a décidé d’écrire. Non pas pour casser, mais pour gratter un peu sous la surface. Car derrière la lumière violette des stands, il y a parfois du flou. Derrière les mots comme “inclusion”, “souveraineté”, “transformation” se cachent souvent des silences, des angles morts, des contradictions. Et c’est là que l’Avocat du Diable s’infiltre.
Ce dossier n’est pas un reportage neutre. C’est un compte rendu subjectif, lucide, drôle parfois, grinçant souvent, mais toujours respectueux de l’intelligence de ses lecteurs. Il ne s’agit pas de tout rejeter, mais de questionner ce que tout le monde célèbre. De pointer les décalages entre la promesse technologique et la réalité sociale. Et de rappeler qu’un monde numérique, s’il veut être juste, doit aussi être lisible, lent quand il le faut, et surtout… humain.
Bienvenue dans le GITEX vu par un esprit qui ne se laisse ni impressionner par un drone, ni attendrir par un chatbot en darija.
Alors il a pris son carnet. Il a gribouillé. Il a levé un sourcil. Et surtout, il a décidé d’écrire. Non pas pour casser, mais pour gratter un peu sous la surface. Car derrière la lumière violette des stands, il y a parfois du flou. Derrière les mots comme “inclusion”, “souveraineté”, “transformation” se cachent souvent des silences, des angles morts, des contradictions. Et c’est là que l’Avocat du Diable s’infiltre.
Ce dossier n’est pas un reportage neutre. C’est un compte rendu subjectif, lucide, drôle parfois, grinçant souvent, mais toujours respectueux de l’intelligence de ses lecteurs. Il ne s’agit pas de tout rejeter, mais de questionner ce que tout le monde célèbre. De pointer les décalages entre la promesse technologique et la réalité sociale. Et de rappeler qu’un monde numérique, s’il veut être juste, doit aussi être lisible, lent quand il le faut, et surtout… humain.
Bienvenue dans le GITEX vu par un esprit qui ne se laisse ni impressionner par un drone, ni attendrir par un chatbot en darija.