Une édition sous le signe de l’IA et de l’internationalisation
La ville de Marrakech s’apprête à accueillir du 14 au 16 avril 2025 la troisième édition de GITEX Africa Morocco, désormais considéré comme le plus grand salon technologique du continent africain. Pour cette édition, les ambitions sont revues à la hausse : davantage de startups, plus d’exposants, une présence élargie de pays, et surtout, une thématique centrale porteuse d’avenir — l’intelligence artificielle (IA).
Chakib Achour, représentant officiel de GITEX Africa, insiste sur l’ampleur inédite de cette édition qui se veut plus qu’un simple salon d’exposition : un véritable moteur de transformation numérique pour l’Afrique. En choisissant l’intelligence artificielle comme fil conducteur, l’événement vise à catalyser une réflexion collective sur le rôle de cette technologie dans le développement économique du Maroc et du continent. Les débats et panels exploreront les applications concrètes de l’IA dans divers domaines : agriculture, santé, éducation, fintech, énergie ou encore mobilité.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : près de 900 startups sont attendues contre 700 l’an dernier, et le nombre d’exposants grimpera à près de 1.800. Pour accueillir cet afflux, la surface du salon sera élargie de 25 %. Environ 140 pays seront représentés, témoignant de l’internationalisation croissante de l’événement. Parmi les nouveautés notables figure la création du « Pavilion Countries », une zone dédiée à la représentation officielle de pays tels que les États-Unis, la Chine, le Canada, l’Allemagne, le Nigeria ou encore l’Arabie saoudite.
L’édition 2025 s’annonce aussi riche en annonces stratégiques. Des mastodontes tels que Google, Salesforce ou TikTok ont confirmé leur participation, renforçant le poids et l’attractivité du salon. L’an dernier, des accords majeurs avaient été conclus entre des acteurs comme Orange et Amazon ou OVHCloud et Oracle. Cette année, de nouveaux memorandums d’entente (MoU), partenariats et closings sont attendus, notamment dans les domaines de la blockchain, des crypto-actifs, des télécoms et de la santé.
Mais GITEX Africa, ce n’est pas seulement un rendez-vous des géants. C’est avant tout une plateforme dédiée à l’innovation locale. L’événement se positionne comme un levier unique pour les startups africaines, en particulier marocaines, à la recherche de fonds et de partenariats. Près de 400 investisseurs seront présents, offrant une opportunité rare de levées de fonds et de rencontres stratégiques. Achour invite les jeunes pousses à adopter une posture proactive : "Il ne suffit pas d’avoir un stand. Il faut aller à la rencontre des clients, investisseurs et autres startups".
L’impact de GITEX Africa dépasse déjà les frontières. Cette année, de nouvelles déclinaisons verront le jour à Berlin, Singapour, au Nigéria et dans le domaine de la santé. Une internationalisation qui prend sa source dans le succès incontestable de l’édition marocaine, faisant de Marrakech non seulement un hub technologique africain, mais un carrefour mondial de l’innovation numérique.
Chakib Achour, représentant officiel de GITEX Africa, insiste sur l’ampleur inédite de cette édition qui se veut plus qu’un simple salon d’exposition : un véritable moteur de transformation numérique pour l’Afrique. En choisissant l’intelligence artificielle comme fil conducteur, l’événement vise à catalyser une réflexion collective sur le rôle de cette technologie dans le développement économique du Maroc et du continent. Les débats et panels exploreront les applications concrètes de l’IA dans divers domaines : agriculture, santé, éducation, fintech, énergie ou encore mobilité.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : près de 900 startups sont attendues contre 700 l’an dernier, et le nombre d’exposants grimpera à près de 1.800. Pour accueillir cet afflux, la surface du salon sera élargie de 25 %. Environ 140 pays seront représentés, témoignant de l’internationalisation croissante de l’événement. Parmi les nouveautés notables figure la création du « Pavilion Countries », une zone dédiée à la représentation officielle de pays tels que les États-Unis, la Chine, le Canada, l’Allemagne, le Nigeria ou encore l’Arabie saoudite.
L’édition 2025 s’annonce aussi riche en annonces stratégiques. Des mastodontes tels que Google, Salesforce ou TikTok ont confirmé leur participation, renforçant le poids et l’attractivité du salon. L’an dernier, des accords majeurs avaient été conclus entre des acteurs comme Orange et Amazon ou OVHCloud et Oracle. Cette année, de nouveaux memorandums d’entente (MoU), partenariats et closings sont attendus, notamment dans les domaines de la blockchain, des crypto-actifs, des télécoms et de la santé.
Mais GITEX Africa, ce n’est pas seulement un rendez-vous des géants. C’est avant tout une plateforme dédiée à l’innovation locale. L’événement se positionne comme un levier unique pour les startups africaines, en particulier marocaines, à la recherche de fonds et de partenariats. Près de 400 investisseurs seront présents, offrant une opportunité rare de levées de fonds et de rencontres stratégiques. Achour invite les jeunes pousses à adopter une posture proactive : "Il ne suffit pas d’avoir un stand. Il faut aller à la rencontre des clients, investisseurs et autres startups".
L’impact de GITEX Africa dépasse déjà les frontières. Cette année, de nouvelles déclinaisons verront le jour à Berlin, Singapour, au Nigéria et dans le domaine de la santé. Une internationalisation qui prend sa source dans le succès incontestable de l’édition marocaine, faisant de Marrakech non seulement un hub technologique africain, mais un carrefour mondial de l’innovation numérique.