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Le Maroc a été élu à la présidence du Conseil des Droits de l’Homme (CDH) de l’ONU, en la personne de l’ambassadeur représentant permanent du Royaume auprès des Nations Unies à Genève, Omar Zniber, à l’issue d'un rare scrutin à bulletin secret et à majorité simple, où le représentant de l’Afrique du Sud, l’ambassadeur Mxolisi Nkosi, a été battu à plate couture par 30 voix contre 17.
L’écart est grand, ses significations aussi, à commencer par la grande estime pour notre pays de la part de la Communauté internationale à laquelle il renvoie.
C’est une première historique pour le Maroc qui occupe ainsi, pour la première fois de l’histoire, ce poste prestigieux. C’est aussi une reconnaissance solennelle de sa totale inscription au corpus international des Droits de l’Homme via un processus laborieux qui a débuté au courant des années 90 du siècle dernier déjà et qui s’est poursuivi à un rythme résolu avec la mise en place des structures nécessaires et la promotion, sur l’ensemble du territoire national, des valeurs et principes de respect des droits humains et de consolidation des acquis enregistrés en la matière.
Cette élection en dit long aussi sur l’aura acquis par le Maroc à l'international et sur sa réputation, désormais enracinée, de pays sérieux et crédible qui forge le respect en joignant toujours l'acte à la parole, notamment en matière de consécration et de promotion des Droits humains sous toutes leurs formes.
Voilà qui permet au Maroc de voir aussi en cette consécration un signal fort émis par la communauté internationale en faveur de sa démarche constructive et de son leadership rassembleur sur des sujets clés comme ceux du dialogue interreligieux, de la tolérance et de la lutte contre la haine raciale, du droit à un environnement sain et durable, des droits des migrants et de l'impact des nouvelles technologies.
L’élection du Maroc à la présidence du CDH de l’ONU prend par ailleurs l’allure d’un triomphe eu égard à l’identité et à la nature de l’adversaire battu, l’afrique du Sud, pays dont l’hostilité récurrente, notoire et stupide à l’endroit du Maroc ne laisse plus aucun pays indifférent.
Allié fidèle et intéressé du régime algérien, soutien inconditionnel du Polisario, le pays de Mandela qui a pris sur lui, depuis 2004, de combattre le Maroc sur les scènes continentale et internationale et de contrecarrer systématiquement ses intérêts vitaux, particulièrement par rapport à son intégrité territoriale, a dû déchanter et se rendre à une amère évidence : l’Afrique du Sud ne compte aucun poids sur la scène internationale et le capital sympathie que lui a légué Nelson Mandela est désormais épuisé, en raison notamment des manigances à répétition du régime en place à Pretoria.
Malgré la mobilisation active de l'Algérie -cheval toujours perdant- à ses côtés pour contrer le Maroc à l’occasion de ce scrutin, l’Afrique du Sud a essuyé un échec retentissant qui devrait lui donner à réfléchir sur ses choix et sur l’opportunité de ses alliances.
L’écart est grand, ses significations aussi, à commencer par la grande estime pour notre pays de la part de la Communauté internationale à laquelle il renvoie.
C’est une première historique pour le Maroc qui occupe ainsi, pour la première fois de l’histoire, ce poste prestigieux. C’est aussi une reconnaissance solennelle de sa totale inscription au corpus international des Droits de l’Homme via un processus laborieux qui a débuté au courant des années 90 du siècle dernier déjà et qui s’est poursuivi à un rythme résolu avec la mise en place des structures nécessaires et la promotion, sur l’ensemble du territoire national, des valeurs et principes de respect des droits humains et de consolidation des acquis enregistrés en la matière.
Cette élection en dit long aussi sur l’aura acquis par le Maroc à l'international et sur sa réputation, désormais enracinée, de pays sérieux et crédible qui forge le respect en joignant toujours l'acte à la parole, notamment en matière de consécration et de promotion des Droits humains sous toutes leurs formes.
Voilà qui permet au Maroc de voir aussi en cette consécration un signal fort émis par la communauté internationale en faveur de sa démarche constructive et de son leadership rassembleur sur des sujets clés comme ceux du dialogue interreligieux, de la tolérance et de la lutte contre la haine raciale, du droit à un environnement sain et durable, des droits des migrants et de l'impact des nouvelles technologies.
L’élection du Maroc à la présidence du CDH de l’ONU prend par ailleurs l’allure d’un triomphe eu égard à l’identité et à la nature de l’adversaire battu, l’afrique du Sud, pays dont l’hostilité récurrente, notoire et stupide à l’endroit du Maroc ne laisse plus aucun pays indifférent.
Allié fidèle et intéressé du régime algérien, soutien inconditionnel du Polisario, le pays de Mandela qui a pris sur lui, depuis 2004, de combattre le Maroc sur les scènes continentale et internationale et de contrecarrer systématiquement ses intérêts vitaux, particulièrement par rapport à son intégrité territoriale, a dû déchanter et se rendre à une amère évidence : l’Afrique du Sud ne compte aucun poids sur la scène internationale et le capital sympathie que lui a légué Nelson Mandela est désormais épuisé, en raison notamment des manigances à répétition du régime en place à Pretoria.
Malgré la mobilisation active de l'Algérie -cheval toujours perdant- à ses côtés pour contrer le Maroc à l’occasion de ce scrutin, l’Afrique du Sud a essuyé un échec retentissant qui devrait lui donner à réfléchir sur ses choix et sur l’opportunité de ses alliances.
Le Conseil des droits de l'homme
Le Conseil des droits de l'homme est un organe intergouvernemental au sein du système des Nations Unies chargé de promouvoir et protéger les droits de l'homme à l'échelle mondiale. Il a été créé en 2006 pour remplacer la Commission des droits de l'homme des Nations Unies.
Le Conseil est composé de 47 États membres élus par l'Assemblée générale des Nations Unies pour des mandats de trois ans.
Ses responsabilités comprennent l'examen des situations des droits de l'homme dans les pays du monde entier, l'adoption de résolutions et la promotion de la coopération internationale dans le domaine des droits de l'homme.
Le Conseil est composé de 47 États membres élus par l'Assemblée générale des Nations Unies pour des mandats de trois ans.
Ses responsabilités comprennent l'examen des situations des droits de l'homme dans les pays du monde entier, l'adoption de résolutions et la promotion de la coopération internationale dans le domaine des droits de l'homme.