Comment Dacia berne ses clients (et s'en met plein les poches)
Un discours bien rodé qui masque difficilement une réalité plus crue : Dacia profite de sa position dominante pour gonfler ses marges, tout en maintenant son image de marque "low-cost". Cette citadine a connu une augmentation moyenne de 47.200 dirhams, passant de 143.800 dirhams en 2020 à 191.000 dirhams en 2024.
On nous promet 20 chevaux de plus sur le moteur ! Une révolution ? Pas vraiment. Surtout quand on constate que l'équipement reste rudimentaire et que la technologie embarquée date du siècle dernier. Mais qu'importe, le client Dacia n'est pas du genre difficile.
Certes, une Dacia perd moins de valeur à la revente que ses concurrentes. Normal, elle partait de si bas ! Un cercle vertueux pour la marque, qui peut ainsi justifier ses prix toujours plus élevés.
Ne parlons pas d'innovations technologiques pour réduire l'impact environnemental. Chez Dacia, on recycle les vieilles recettes et on s'adapte aux normes à minima. L'essentiel, c'est de continuer à produire à bas prix et à engranger les profits.
On nous promet 20 chevaux de plus sur le moteur ! Une révolution ? Pas vraiment. Surtout quand on constate que l'équipement reste rudimentaire et que la technologie embarquée date du siècle dernier. Mais qu'importe, le client Dacia n'est pas du genre difficile.
Certes, une Dacia perd moins de valeur à la revente que ses concurrentes. Normal, elle partait de si bas ! Un cercle vertueux pour la marque, qui peut ainsi justifier ses prix toujours plus élevés.
Ne parlons pas d'innovations technologiques pour réduire l'impact environnemental. Chez Dacia, on recycle les vieilles recettes et on s'adapte aux normes à minima. L'essentiel, c'est de continuer à produire à bas prix et à engranger les profits.