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C'est un signal d'alarme retentissant, surtout quand on sait que l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande un minimum de 4,45 agents de santé pour 1 000 habitants.
La situation est sur le point de s'aggraver dramatiquement! Les prévisions démographiques indiquent une aggravation du déficit en personnel de santé, rendant l'objectif de l'OMS de plus en plus hors de portée. Le système de santé public est en crise, avec des difficultés majeures dans la formation et la rétention du personnel qualifié.
Le rapport du CESE révèle une pénurie persistante de professionnels de la santé, exacerbée par la crise de la Covid-19. Cette pénurie touche tous les secteurs, des médecins aux infirmiers, en passant par les travailleurs paramédicaux. C'est une situation désastreuse!
Pour lutter contre l'exode massif des compétences marocaines dans le secteur de la santé, le rapport préconise un changement radical dans la gestion des carrières. Il faut des mesures incitatives et motivantes pour retenir ces professionnels essentiels, tout en maintenant un haut niveau de compétence et en renforçant la méritocratie, surtout dans le secteur public.
Le médecin et chercheur Tayeb Hamdi tire la sonnette d'alarme sur l'exode des professionnels de la santé au Maroc, un phénomène aux conséquences tragiques.
Les raisons de cette fuite massive incluent des salaires insatisfaisants, des conditions de travail déplorables, un manque de budget pour la recherche, et un dénigrement constant dans les médias. Cette situation met en péril les objectifs ambitieux du Maroc en matière de couverture médicale. Le pays n'a même pas la moitié du nombre de professionnels requis selon les normes de l'OMS.
Après la pandémie de Covid-19, les pays européens intensifient leur chasse aux médecins marocains, aggravant encore plus la crise. Tayeb Hamdi appelle à des mesures urgentes pour stopper cette migration continue, notamment en améliorant les conditions de travail, les salaires, et la formation.
En conclusion, une intervention rapide et efficace est cruciale pour encourager les professionnels de la santé à rester et travailler au Maroc. Sinon, le pays risque de faire face à une émigration continue et désastreuse de ses médecins dans les années à venir. C'est une urgence nationale!
Le rapport du CESE révèle une pénurie persistante de professionnels de la santé, exacerbée par la crise de la Covid-19. Cette pénurie touche tous les secteurs, des médecins aux infirmiers, en passant par les travailleurs paramédicaux. C'est une situation désastreuse!
Pour lutter contre l'exode massif des compétences marocaines dans le secteur de la santé, le rapport préconise un changement radical dans la gestion des carrières. Il faut des mesures incitatives et motivantes pour retenir ces professionnels essentiels, tout en maintenant un haut niveau de compétence et en renforçant la méritocratie, surtout dans le secteur public.
Le médecin et chercheur Tayeb Hamdi tire la sonnette d'alarme sur l'exode des professionnels de la santé au Maroc, un phénomène aux conséquences tragiques.
Plus de 14 000 médecins marocains travaillent à l'étranger, alors que le pays en compte environ 29 000. La moitié des médecins formés au Maroc émigrent chaque année, une hémorragie de compétences inquiétante!
Les raisons de cette fuite massive incluent des salaires insatisfaisants, des conditions de travail déplorables, un manque de budget pour la recherche, et un dénigrement constant dans les médias. Cette situation met en péril les objectifs ambitieux du Maroc en matière de couverture médicale. Le pays n'a même pas la moitié du nombre de professionnels requis selon les normes de l'OMS.
Après la pandémie de Covid-19, les pays européens intensifient leur chasse aux médecins marocains, aggravant encore plus la crise. Tayeb Hamdi appelle à des mesures urgentes pour stopper cette migration continue, notamment en améliorant les conditions de travail, les salaires, et la formation.
En conclusion, une intervention rapide et efficace est cruciale pour encourager les professionnels de la santé à rester et travailler au Maroc. Sinon, le pays risque de faire face à une émigration continue et désastreuse de ses médecins dans les années à venir. C'est une urgence nationale!