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Ce parti est membre de la coalition gouvernementale et il n'est pas tombé dans le piège de la critique, mais il est resté fidèle à sa méthode habituelle de "l'autocritique positive". Il n'a pas hésité à mettre en avant les initiatives gouvernementales, tout en ajoutant ce que les orateurs du parti ont qualifié de propositions et de pistes pour créer des emplois.
Nizar Baraka, SG du parti, a eu une approche constructive. Il a rappelé avec des mots objectifs, le pic de chômage de 2023, l'imputant, à raison, à la sécheresse qui a fait perdre 200.000 emploi dans le monde rural.
"Parmi les mécanismes pour la création d'emplois, figure la croissance. Aujourd'hui, nous pouvons dire que nous sommes très loin des 6% de croissance annuelle fixés par le Nouveau Modèle de développement, ce qui impacte bien évidemment les opportunités d'emploi créées".
Avec les avancées technologiques, le contenu de l'emploi dans le développement a régressé, souligne par ailleurs Nizar Baraka. "Un point de croissance permettait la création de 35.000 emplois. Aujourd'hui, il n'en crée que 20.000", constate le secrétaire général de l'Istiqlal.
"Ces chiffres ont été enregistrés malgré les efforts fournis par le gouvernement : augmentation des investissements publics qui ont atteint cette année 330 MMDH, mise en place des programmes Awrach et Forsa, le dispositif d'exonération d'impôt sur le revenu durant les deux premières années de recrutement des entreprises...".
Le patron de l'Istiqlal ajoute toutefois sur un ton confiant : "Si nous sommes réunis aujourd'hui, c'est pour savoir s'il est possible de dépasser cette situation. Nous affirmons, à cette occasion, que le Maroc a de fortes chances de dépasser cette problématique, notamment en profitant des changements à l'échelle mondiale (baisse de la natalité, pénurie de cadres qualifiés...) pour libérer le potentiel de la création d'emplois et exploiter les nouveaux gisements de l'emploi. Or, de nouveaux métiers, au niveau national comme international, se présentent aujourd'hui".
Selon Nizar Baraka, c'est que dans l'évolution du monde, et dans le contexte international, se présentent de nouvelles opportunités.
Mais celles-ci, bien évidemment, ne fourniront pas une solution immédiate à l'impatience des chômeurs et au pic de chômage.
Ce sont des dispositifs qui se mettront en place progressivement. Tout y est passé : les grands chantiers en prévision du Mondial 2030 ; le tourisme et les dizaines de milliers de lits supplémentaires prévus ; l'offre hydrogène vert et les énergies renouvelables ; le gaz et la feuille de route d'infrastructures gazières ; les nouvelles technologies ; la formation d'ingénieurs ; le déclin démographique de l'Europe ; le co-développement ; l'intégration économique africaine...
Nizar Baraka, SG du parti, a eu une approche constructive. Il a rappelé avec des mots objectifs, le pic de chômage de 2023, l'imputant, à raison, à la sécheresse qui a fait perdre 200.000 emploi dans le monde rural.
"Parmi les mécanismes pour la création d'emplois, figure la croissance. Aujourd'hui, nous pouvons dire que nous sommes très loin des 6% de croissance annuelle fixés par le Nouveau Modèle de développement, ce qui impacte bien évidemment les opportunités d'emploi créées".
Avec les avancées technologiques, le contenu de l'emploi dans le développement a régressé, souligne par ailleurs Nizar Baraka. "Un point de croissance permettait la création de 35.000 emplois. Aujourd'hui, il n'en crée que 20.000", constate le secrétaire général de l'Istiqlal.
"Ces chiffres ont été enregistrés malgré les efforts fournis par le gouvernement : augmentation des investissements publics qui ont atteint cette année 330 MMDH, mise en place des programmes Awrach et Forsa, le dispositif d'exonération d'impôt sur le revenu durant les deux premières années de recrutement des entreprises...".
Le patron de l'Istiqlal ajoute toutefois sur un ton confiant : "Si nous sommes réunis aujourd'hui, c'est pour savoir s'il est possible de dépasser cette situation. Nous affirmons, à cette occasion, que le Maroc a de fortes chances de dépasser cette problématique, notamment en profitant des changements à l'échelle mondiale (baisse de la natalité, pénurie de cadres qualifiés...) pour libérer le potentiel de la création d'emplois et exploiter les nouveaux gisements de l'emploi. Or, de nouveaux métiers, au niveau national comme international, se présentent aujourd'hui".
Selon Nizar Baraka, c'est que dans l'évolution du monde, et dans le contexte international, se présentent de nouvelles opportunités.
Mais celles-ci, bien évidemment, ne fourniront pas une solution immédiate à l'impatience des chômeurs et au pic de chômage.
Ce sont des dispositifs qui se mettront en place progressivement. Tout y est passé : les grands chantiers en prévision du Mondial 2030 ; le tourisme et les dizaines de milliers de lits supplémentaires prévus ; l'offre hydrogène vert et les énergies renouvelables ; le gaz et la feuille de route d'infrastructures gazières ; les nouvelles technologies ; la formation d'ingénieurs ; le déclin démographique de l'Europe ; le co-développement ; l'intégration économique africaine...