Le comité de sélection, présidé par Tariq Khalami du CCM, comprenait des personnalités influentes du cinéma marocain, telles que la productrice Souad Lamriki, la réalisatrice Layla Triqui, et d’autres professionnels reconnus comme Driss Mrini, Driss Roukhe et Zine El Abidine Charafeddine.
Une histoire puissante d'émancipation et de résistance
"Everybody Loves Touda" raconte l’histoire de Touda, une femme rêvant de devenir une Cheikha, artiste traditionnelle marocaine. Dans un monde où elle chante sans retenue des textes d’amour et de résistance, Touda se produit dans les bars de sa petite ville sous les regards masculins, tout en espérant un avenir meilleur pour elle et son fils. Maltraitée et méprisée, elle prend la décision courageuse de quitter sa vie actuelle pour s’installer à Casablanca, dans l’espoir d’un nouveau départ.
Une compétition serrée pour la sélection
En plus du film de Nabil Ayouch, six autres longs métrages étaient en lice pour représenter le Maroc aux Oscars. Parmi eux, on retrouve "L’Oasis des eaux gelées" de Raouf Sebbahi, "Sahari, Salem Wsaa" de Moulay Taieb Bouhanana, "Mon père n’est pas mort" d’Adil Fadili, "Fez Summer 55" d’Abdelhai Laraki, "Les Meutes" de Kamal Lazraq, et "Déserts" de Faouzi Bensaidi. Chacun de ces films apporte une vision unique du cinéma marocain, mais c’est l’œuvre de Nabil Ayouch qui portera les couleurs du pays à la prochaine cérémonie des Oscars.
Une histoire puissante d'émancipation et de résistance
"Everybody Loves Touda" raconte l’histoire de Touda, une femme rêvant de devenir une Cheikha, artiste traditionnelle marocaine. Dans un monde où elle chante sans retenue des textes d’amour et de résistance, Touda se produit dans les bars de sa petite ville sous les regards masculins, tout en espérant un avenir meilleur pour elle et son fils. Maltraitée et méprisée, elle prend la décision courageuse de quitter sa vie actuelle pour s’installer à Casablanca, dans l’espoir d’un nouveau départ.
Une compétition serrée pour la sélection
En plus du film de Nabil Ayouch, six autres longs métrages étaient en lice pour représenter le Maroc aux Oscars. Parmi eux, on retrouve "L’Oasis des eaux gelées" de Raouf Sebbahi, "Sahari, Salem Wsaa" de Moulay Taieb Bouhanana, "Mon père n’est pas mort" d’Adil Fadili, "Fez Summer 55" d’Abdelhai Laraki, "Les Meutes" de Kamal Lazraq, et "Déserts" de Faouzi Bensaidi. Chacun de ces films apporte une vision unique du cinéma marocain, mais c’est l’œuvre de Nabil Ayouch qui portera les couleurs du pays à la prochaine cérémonie des Oscars.
L'ODJ avec hespress