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Ce poème célèbre la collaboration et l’intelligence collective comme clés du succès. Il oppose la richesse des idées partagées à la stérilité des querelles d’ego, mettant en garde contre l’orgueil, source de division et de conflits. Le poème invite à privilégier l’harmonie, le respect et la sagesse dans le travail, où la complémentarité des talents bâtit des projets solides et durables. À travers des métaphores telles que la rivière qui fusionne les savoirs ou le palais tissé de patience, il illustre la puissance de l’union face à la fragilité de l’individualisme. Ce texte, dans une tonalité de conseiller, rappelle que la paix et la clarté d’esprit sont les véritables forces motrices d’une réussite collective. Ainsi, il exhorte chacun à choisir la lumière de l’intelligence partagée, plutôt que l’ombre de l’orgueil solitaire.
5.18 Mo
79
28/12/2024
Ce poème, dans un style inspiré de Pierre de Ronsard, aborde avec surprise le déclin de la natalité chez les Marocains. À travers des alexandrins mélancoliques, il dépeint un peuple autrefois vibrant de vie et de naissances, désormais confronté au silence des berceaux vides. Les rires des enfants, qui résonnaient jadis dans les foyers, ont laissé place à une société où la raison économique domine et où l'enfant est perçu comme un coût insurmontable. Le poème évoque avec nostalgie les mères d'autrefois, porteuses d’espoir et de lignages, et déplore l’avenir déserté d’une nation qui semble se priver d’héritiers. Les pères comptent plus qu’ils n’éduquent, et le cri des bébés s'est éteint, remplacé par un silence pesant. Ainsi, le texte pose une question implicite : qu'advient-il d'un peuple lorsqu'il cesse de donner la vie ? Une nation qui abandonne ses enfants abandonne, en réalité, son propre avenir.
4.81 Mo
814
18/12/2024
Ce poème dépeint un monde gouverné par des intérêts puissants où tout semble changer, mais rien ne change véritablement. Les grandes nations manipulent l’échiquier géopolitique pour servir leurs ambitions, au détriment des peuples et des civilisations. La chute de la Syrie permet au gaz qatari de circuler en Europe, libérant celle-ci de la Russie, tandis que Moscou gagne des territoires stratégiques en Ukraine et conserve ses positions au Moyen-Orient. Israël assoit sa domination sur le Golan, écrasant les résistances, et la Turquie profite des richesses syriennes tout en réglant ses problèmes internes. Les États-Unis, toujours en quête de suprématie, sabotent les projets chinois et imposent leurs accords diplomatiques. Le poème s’achève sur une amère constatation : malgré les apparentes transformations, les inégalités persistent, les peuples souffrent, et l’Histoire s’efface sous le poids des calculs pragmatiques et immuables des puissants.
5.47 Mo
876
17/12/2024
Ce poème dépeint un monde gouverné par des intérêts puissants où tout semble changer, mais rien ne change véritablement. Les grandes nations manipulent l’échiquier géopolitique pour servir leurs ambitions, au détriment des peuples et des civilisations. La chute de la Syrie permet au gaz qatari de circuler en Europe, libérant celle-ci de la Russie, tandis que Moscou gagne des territoires stratégiques en Ukraine et conserve ses positions au Moyen-Orient. Israël assoit sa domination sur le Golan, écrasant les résistances, et la Turquie profite des richesses syriennes tout en réglant ses problèmes internes. Les États-Unis, toujours en quête de suprématie, sabotent les projets chinois et imposent leurs accords diplomatiques. Le poème s’achève sur une amère constatation : malgré les apparentes transformations, les inégalités persistent, les peuples souffrent, et l’Histoire s’efface sous le poids des calculs pragmatiques et immuables des puissants.
5.58 Mo
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15/12/2024
Ce poème s'adresse aux voisins algériens pour mettre en lumière leurs défis collectifs. Il dénonce les divisions internes, la méfiance, et le poids d'un passé traumatique qui freinent leur progression. L'orgueil, bien qu'une qualité noble, devient ici une barrière à l'écoute et au progrès. Le texte critique également l'immobilisme face à des opportunités inexploitées, l'exil des jeunes, et les inégalités sociales exacerbées. Avec des images poétiques, il invite les Algériens à dépasser leurs rancunes et à se réconcilier avec eux-mêmes pour bâtir un avenir meilleur. Le refrain agit comme un avertissement : sans introspection et soin, les blessures sociales et individuelles continueront de freiner leur envol. Ce poème, à la fois provocateur et porteur d’espoir, appelle à l'unité, à la réflexion, et à un renouvellement de la vision collective.
5.79 Mo
1024
14/12/2024
Ce poème explore la profondeur du choix humain à travers la dualité du "oui" et du "non". Chaque décision, bien que simple en apparence, porte en elle une dimension existentielle. Le "oui" symbolise l’élan vers l’inconnu, l’espoir et l’engagement, mais il peut aussi consumer l’âme par ses conséquences imprévisibles. Le "non", quant à lui, représente le refuge, la prudence et la préservation, bien qu’il puisse enfermer l’être dans la stagnation et le regret. À travers des métaphores maritimes et des contrastes entre lumière et ombre, le poème met en avant la tension entre l’audace et la prudence, l’illusion de la liberté et le poids des renoncements. Pourtant, au-delà de cette dichotomie, le silence et l’hésitation se dévoilent comme une troisième voie, où l’âme peut se libérer du joug du choix. Ce poème est un hymne à l’humanité, tiraillée entre raison et émotion.
4.64 Mo
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14/12/2024
La radiologie, à la croisée de la science et de l’art, explore l’invisible pour dévoiler les mystères du corps. Ce poème rend hommage à son pouvoir de traduire la complexité humaine en métaphores visuelles évocatrices. À travers des images comme le "verre dépoli" d’un poumon essoufflé ou le "rayon de miel" dans une fibrose avancée, la radiologie capte la fragilité et la résilience du corps. Chaque terme technique, qu’il s’agisse du "chapeau de cloche" ou de la "queue de radis", devient un pont entre la médecine et l’humanité. Derrière chaque cliché, des radiologues engagés interprètent ces images pour redonner espoir. Avec ses "œuvres de sens", la radiologie transcende son rôle clinique en transformant le banal en outils de vie, alliant bienveillance et savoir-faire, tout en rappelant que la santé est aussi une poésie du visible et de l’invisible.
5.54 Mo
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14/12/2024
​Ce poème explore la posture assumée d'un climatosceptique, oscillant entre doute et observation. Il illustre les paradoxes du Maroc face au changement climatique : un pays confronté à des phénomènes extrêmes, mais où l'indécision et l'ignorance prédominent. À travers des alexandrins, le narrateur revendique son scepticisme, vu non comme un rejet catégorique, mais comme une quête de compréhension dans un contexte où le discours scientifique apparaît complexe et inaccessible. Le poème met en lumière la fracture entre l’urgence climatique perçue et l’inaction due au manque d’information claire et adaptée. Il souligne également l’ambiguïté des chiffres : si peu de Marocains nient totalement la menace, une majorité reste incertaine, révélant un potentiel inexploité pour la sensibilisation. Loin de nier les défis environnementaux, le poème invite à transformer le doute en outil critique, ouvrant la voie à une réflexion plus nuancée et collective.
6.17 Mo
208
12/12/2024
Ce poème s’adresse à la génération Z, en les encourageant à adopter une mentalité de gagnants plutôt que de s’enfermer dans les excuses. À travers un style contemporain et direct, il oppose deux attitudes face aux défis : celle des gagnants, qui voient dans les obstacles une opportunité de progresser et de se surpasser, et celle des perdants, qui se réfugient derrière des excuses pour justifier l’inaction. Les gagnants sont décrits comme audacieux, persévérants et capables de transformer leurs échecs en tremplins vers la réussite. À l’inverse, les perdants, paralysés par leurs doutes et leur peur, se privent des opportunités qui pourraient changer leur vie. Le refrain, concis et percutant, invite à prendre des décisions concrètes et à agir immédiatement. En somme, le poème est un appel à l'action, exhortant chacun à abandonner les excuses et à construire activement son avenir.
3.92 Mo
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12/12/2024
​Ce poème célèbre l’union historique du Maroc, de l’Espagne et du Portugal pour organiser la Coupe du Monde 2030, sous le slogan vibrant "Yalla Vamos". À travers des vers riches et rythmés, il met en lumière la diversité culturelle, l’unité des peuples et l’esprit de fraternité qui transcendent les frontières. Les paysages majestueux, des dunes marocaines aux rivages ibériques, servent de toile de fond à cette fête universelle du football, où chaque match devient un symbole d’espoir et de paix. Les stades, animés par des chants et des drapeaux, témoignent de l’engagement des trois nations pour écrire une page mémorable dans l’histoire sportive mondiale. Plus qu’un simple événement, cette collaboration incarne un message d’unité, d’amitié et de lumière, reliant des cœurs et des générations autour de l’amour du jeu et d’un avenir commun. "Yalla Vamos", un cri d’espoir partagé
4.96 Mo
55
12/12/2024
Ce poème, inspiré de la philosophie désabusée de l'auteur, explore le futur du Maroc à l’horizon 2050, entre défis démographiques, urbanisation galopante et pressions migratoires. Il évoque une population vieillissante, marquée par une espérance de vie allongée et une fécondité en baisse, contrastant avec les aspirations d’une jeunesse souvent tournée vers l’émigration. Les grandes villes, surpeuplées, concentrent les inégalités et mettent à mal les ressources naturelles, tandis que les zones rurales s’appauvrissent. Les défis environnementaux et sociaux appellent à des réformes et à des politiques inclusives pour une gestion durable et équitable. Pourtant, le poète, détaché, contemple ce futur avec indifférence : « 2050, je m’en fous, je ne serai plus parmi vous ! ». Ce refrain ironique souligne la fragilité de l’existence face au temps, tout en laissant entrevoir la responsabilité des générations futures pour bâtir un avenir meilleur.
4.06 Mo
57
12/12/2024