Un Tournant radical :
Cette évolution soulève des questions cruciales sur le rôle des entreprises technologiques dans la diffusion de l’information. Zuckerberg a toujours refusé de considérer Meta comme une entreprise de presse, préférant la définir comme un « utility », un service de distribution. Cette position lui permet d’échapper aux obligations réglementaires qui pèsent sur les médias traditionnels, tout en adoptant une posture qui pourrait être perçue comme une capitulation face aux pressions politiques.
La décision de Zuckerberg est d’autant plus marquante qu’aucun autre dirigeant de la tech n’avait jusqu’alors exprimé un soutien aussi explicite à la vision radicale de la liberté d’expression défendue par Trump et Musk. Ce dernier, qui a récemment acquis Twitter, a également mis en avant une politique de non-régulation, provoquant un débat intense sur les responsabilités des plateformes numériques. Ce rapprochement entre la tech et le conservatisme pose un défi majeur pour l’avenir de l’information en ligne et la lutte contre la désinformation.
La décision de Zuckerberg est d’autant plus marquante qu’aucun autre dirigeant de la tech n’avait jusqu’alors exprimé un soutien aussi explicite à la vision radicale de la liberté d’expression défendue par Trump et Musk. Ce dernier, qui a récemment acquis Twitter, a également mis en avant une politique de non-régulation, provoquant un débat intense sur les responsabilités des plateformes numériques. Ce rapprochement entre la tech et le conservatisme pose un défi majeur pour l’avenir de l’information en ligne et la lutte contre la désinformation.