L’événement a mis en lumière le dernier ouvrage de Youssef Wahboun, critique d’art et artiste-peintre, intitulé "Le Plaisir Paradoxal. Écrits sur les arts visuels au Maroc". Publié par House of Beau Art Éditions, ce livre se présente comme une plongée passionnante dans la scène artistique marocaine, offrant une analyse riche et nuancée des évolutions qui l’ont façonnée au cours de la dernière décennie.
Un témoignage sur une décennie d’art marocain
Fruit d’un travail de dix ans, Le Plaisir Paradoxal regroupe des articles rédigés entre 2012 et 2022. À travers ces écrits, Wahboun rend hommage à des figures majeures de l’art marocain, qu’elles soient encore actives ou déjà disparues, tout en explorant les trajectoires uniques de créateurs comme Mohamed Chabâa ou Farid Belkahia. L’ouvrage se distingue par sa structure thématique, mêlant critiques d’expositions, analyses d’œuvres et réflexions sur les tendances esthétiques qui ont marqué la scène artistique marocaine. Wahboun y examine notamment les tensions entre figuration et abstraction, ainsi que l’adoption de nouveaux médiums par les artistes marocains.
Un plaidoyer pour la documentation de l’art marocain
Lors de la rencontre, l’auteur a partagé les origines de ce projet ambitieux. Il a souligné un constat préoccupant : le manque cruel d’ouvrages dédiés à l’art marocain. Selon lui, il est impératif de documenter cette richesse culturelle pour mieux comprendre les dynamiques passées et présentes qui façonnent le Maroc. Wahboun aspire à ce que son livre serve non seulement d’archive mais aussi de source d’inspiration pour les générations futures.
Les défis d’un critique d’art au Maroc
La discussion a également permis d’aborder les nombreux obstacles auxquels la critique d’art est confrontée dans le pays. L’accès limité aux œuvres, souvent jalousement conservées par des galeries, complique le travail des critiques. De plus, le manque de soutien institutionnel freine la diffusion et la reconnaissance des artistes marocains à l’international. Wahboun a insisté sur l’urgence de mieux documenter des figures historiques comme Chabâa et Belkahia, dont l’héritage mérite une plus large visibilité.
Un rêve en construction
Malgré ces défis, Youssef Wahboun ne manque pas d’ambition. Il rêve de publier un "dictionnaire amoureux" de l’art marocain, un projet qui lui tient à cœur mais qui nécessite un accès accru aux archives et aux images. Optimiste et passionné, il continue de contribuer activement à la scène culturelle marocaine, à travers son double rôle de critique et d’artiste.
Un témoignage sur une décennie d’art marocain
Fruit d’un travail de dix ans, Le Plaisir Paradoxal regroupe des articles rédigés entre 2012 et 2022. À travers ces écrits, Wahboun rend hommage à des figures majeures de l’art marocain, qu’elles soient encore actives ou déjà disparues, tout en explorant les trajectoires uniques de créateurs comme Mohamed Chabâa ou Farid Belkahia. L’ouvrage se distingue par sa structure thématique, mêlant critiques d’expositions, analyses d’œuvres et réflexions sur les tendances esthétiques qui ont marqué la scène artistique marocaine. Wahboun y examine notamment les tensions entre figuration et abstraction, ainsi que l’adoption de nouveaux médiums par les artistes marocains.
Un plaidoyer pour la documentation de l’art marocain
Lors de la rencontre, l’auteur a partagé les origines de ce projet ambitieux. Il a souligné un constat préoccupant : le manque cruel d’ouvrages dédiés à l’art marocain. Selon lui, il est impératif de documenter cette richesse culturelle pour mieux comprendre les dynamiques passées et présentes qui façonnent le Maroc. Wahboun aspire à ce que son livre serve non seulement d’archive mais aussi de source d’inspiration pour les générations futures.
Les défis d’un critique d’art au Maroc
La discussion a également permis d’aborder les nombreux obstacles auxquels la critique d’art est confrontée dans le pays. L’accès limité aux œuvres, souvent jalousement conservées par des galeries, complique le travail des critiques. De plus, le manque de soutien institutionnel freine la diffusion et la reconnaissance des artistes marocains à l’international. Wahboun a insisté sur l’urgence de mieux documenter des figures historiques comme Chabâa et Belkahia, dont l’héritage mérite une plus large visibilité.
Un rêve en construction
Malgré ces défis, Youssef Wahboun ne manque pas d’ambition. Il rêve de publier un "dictionnaire amoureux" de l’art marocain, un projet qui lui tient à cœur mais qui nécessite un accès accru aux archives et aux images. Optimiste et passionné, il continue de contribuer activement à la scène culturelle marocaine, à travers son double rôle de critique et d’artiste.