Ce titre, qui signifie littéralement « ce n’est pas grave » en arabe, incarne la force et l’endurance face à l’adversité. Réalisé par Najat Boutafsout, diplômée en cinéma documentaire, le film explore avec une sensibilité remarquable le parcours de Wael Al Dahdouh, correspondant d’Al Jazeera à Gaza, dont la vie a été marquée par une tragédie inimaginable.
Wael Al Dahdouh a perdu sa femme, ses enfants et plusieurs membres de sa famille lors d’attaques israéliennes. Pourtant, malgré cette douleur insurmontable, il continue de porter haut la voix des opprimés à travers son journalisme courageux. Le documentaire ne se limite pas à raconter son histoire personnelle, mais devient un miroir des souffrances quotidiennes vécues par les Palestiniens. À travers des images saisissantes et une narration immersive, le film plonge le spectateur dans une réalité souvent ignorée ou minimisée par les médias internationaux.
Lors de la projection, Wael Al Dahdouh a exprimé sa gratitude envers le Maroc pour son soutien indéfectible à la cause palestinienne. Il a souligné que cet engagement témoigne de l’essence même du caractère marocain, empreint de solidarité et d’humanité. Ce moment a également permis de célébrer les journalistes de Gaza, qui risquent leur vie chaque jour pour défendre la vérité et documenter les injustices.
Le public présent à cette projection a été profondément touché par la force du message véhiculé par « Ma3lich ». Les applaudissements chaleureux qui ont suivi la projection n’étaient pas seulement un hommage au travail de la réalisatrice et au courage de Wael Al Dahdouh, mais aussi une reconnaissance collective des luttes pour la justice, la paix et la dignité humaine.
Ce documentaire rappelle avec force l’importance du journalisme dans les zones de conflit et le rôle crucial des récits personnels pour éveiller les consciences. En mettant en lumière ces histoires humaines, le Festival de Tétouan continue d’être un espace où l’art se met au service des grandes causes.
Wael Al Dahdouh a perdu sa femme, ses enfants et plusieurs membres de sa famille lors d’attaques israéliennes. Pourtant, malgré cette douleur insurmontable, il continue de porter haut la voix des opprimés à travers son journalisme courageux. Le documentaire ne se limite pas à raconter son histoire personnelle, mais devient un miroir des souffrances quotidiennes vécues par les Palestiniens. À travers des images saisissantes et une narration immersive, le film plonge le spectateur dans une réalité souvent ignorée ou minimisée par les médias internationaux.
Lors de la projection, Wael Al Dahdouh a exprimé sa gratitude envers le Maroc pour son soutien indéfectible à la cause palestinienne. Il a souligné que cet engagement témoigne de l’essence même du caractère marocain, empreint de solidarité et d’humanité. Ce moment a également permis de célébrer les journalistes de Gaza, qui risquent leur vie chaque jour pour défendre la vérité et documenter les injustices.
Le public présent à cette projection a été profondément touché par la force du message véhiculé par « Ma3lich ». Les applaudissements chaleureux qui ont suivi la projection n’étaient pas seulement un hommage au travail de la réalisatrice et au courage de Wael Al Dahdouh, mais aussi une reconnaissance collective des luttes pour la justice, la paix et la dignité humaine.
Ce documentaire rappelle avec force l’importance du journalisme dans les zones de conflit et le rôle crucial des récits personnels pour éveiller les consciences. En mettant en lumière ces histoires humaines, le Festival de Tétouan continue d’être un espace où l’art se met au service des grandes causes.