La Nazionale, qui n’avait jamais atteint les demi-finales lors de ses six précédentes participations, s’est imposée 25-18, 25-20, 25-17. Après avoir perdu un seul set durant tout le tournoi, elle succède à son adversaire du jour, la Team USA.
Les Américaines, qui jouaient leur quatrième finale en cinq éditions (après avoir décroché l’argent à Pékin-2008 et à Londres-2012, battues à chaque fois par les Brésiliennes), comptaient sur leur expérience des grands événements pour tenter de remporter une deuxième médaille d’or.
Cependant, elles ont été largement dominées par des Italiennes bien plus fortes, notamment grâce à un bloc impérial qui a réalisé 11 contres (contre aucun pour les USA), dont 4 signés Paola Egonu, meilleure marqueuse du match avec 22 points.
La star italienne a été soutenue par les précieuses contributions de Myriam Sylla (10 points) et Caterina Bosetti (9 points), tandis que les Américaines n’ont trouvé aucune solution pour changer le cours du match. Kathryn Plummer, si brillante en demi-finale contre le Brésil avec 26 points, a été absente lors de cette finale, ne marquant que 2 points.
Cette victoire couronne la génération Egonu, menée par cette talentueuse attaquante de 25 ans, qui a fait de la lutte contre le racisme son combat en Italie, où elle est souvent la cible d’attaques de l’extrême droite.
D’origine nigériane, Egonu avait mené l’Italie à la victoire à l’Euro 2021 et avait envisagé de ne plus porter le maillot italien après le Mondial 2022, lassée des insultes qu’elle recevait.
Considérée comme la meilleure joueuse du monde actuellement, Egonu a trouvé une réponse éclatante en écrivant, avec ses coéquipières, une nouvelle page de l’histoire du volley italien, en ajoutant ce titre olympique à leur victoire en Ligue des nations en juin.
Les Américaines, qui jouaient leur quatrième finale en cinq éditions (après avoir décroché l’argent à Pékin-2008 et à Londres-2012, battues à chaque fois par les Brésiliennes), comptaient sur leur expérience des grands événements pour tenter de remporter une deuxième médaille d’or.
Cependant, elles ont été largement dominées par des Italiennes bien plus fortes, notamment grâce à un bloc impérial qui a réalisé 11 contres (contre aucun pour les USA), dont 4 signés Paola Egonu, meilleure marqueuse du match avec 22 points.
La star italienne a été soutenue par les précieuses contributions de Myriam Sylla (10 points) et Caterina Bosetti (9 points), tandis que les Américaines n’ont trouvé aucune solution pour changer le cours du match. Kathryn Plummer, si brillante en demi-finale contre le Brésil avec 26 points, a été absente lors de cette finale, ne marquant que 2 points.
Cette victoire couronne la génération Egonu, menée par cette talentueuse attaquante de 25 ans, qui a fait de la lutte contre le racisme son combat en Italie, où elle est souvent la cible d’attaques de l’extrême droite.
D’origine nigériane, Egonu avait mené l’Italie à la victoire à l’Euro 2021 et avait envisagé de ne plus porter le maillot italien après le Mondial 2022, lassée des insultes qu’elle recevait.
Considérée comme la meilleure joueuse du monde actuellement, Egonu a trouvé une réponse éclatante en écrivant, avec ses coéquipières, une nouvelle page de l’histoire du volley italien, en ajoutant ce titre olympique à leur victoire en Ligue des nations en juin.