Les consommateurs marocains peuvent enfin souffler. Les prix de la volaille, qui avaient grimpé ces derniers mois, sont en chute libre, passant de 23 à 18 dirhams le kilo. Ce revirement, qui réjouit les ménages marocains, s’explique par une offre excédentaire due à une meilleure gestion des élevages et des conditions climatiques favorables.
Pour les familles à revenu modeste, cette baisse représente une véritable bouffée d’air frais, surtout en ces temps de pression économique généralisée. Le secteur avicole, pilier de l’alimentation marocaine, a toujours été sensible aux fluctuations des coûts de production. Cependant, les professionnels du secteur indiquent que cette baisse des prix est la conséquence d’une surproduction. « L’offre dépasse actuellement la demande », confie un éleveur. Le marché se retrouve inondé, ce qui pousse les prix vers le bas.
Certains craignent que cette situation ne soit que temporaire, en raison de la volatilité des coûts de production liés aux aliments pour bétail et aux intrants agricoles, fortement influencés par les marchés internationaux. Les petits producteurs, eux, risquent de subir les effets négatifs d’une telle déflation, n’ayant pas la capacité de maintenir des prix bas sur le long terme.
La question qui se pose désormais est de savoir si cette chute des prix est durable ou si elle annonce une nouvelle instabilité sur le marché de la volaille. Pour l’heure, les consommateurs profitent pleinement de cette aubaine. Mais à long terme, les experts appellent à une régulation plus fine du secteur, afin d'éviter des fluctuations trop brusques qui peuvent fragiliser l'ensemble de la chaîne de production.
Au-delà d'une simple baisse des prix, cette situation reflète un besoin plus large de structuration du marché avicole au Maroc. Les acteurs du secteur appellent à des réformes qui visent à stabiliser les prix, tout en garantissant des conditions équitables pour les producteurs et un accès abordable pour les consommateurs.
Pour les familles à revenu modeste, cette baisse représente une véritable bouffée d’air frais, surtout en ces temps de pression économique généralisée. Le secteur avicole, pilier de l’alimentation marocaine, a toujours été sensible aux fluctuations des coûts de production. Cependant, les professionnels du secteur indiquent que cette baisse des prix est la conséquence d’une surproduction. « L’offre dépasse actuellement la demande », confie un éleveur. Le marché se retrouve inondé, ce qui pousse les prix vers le bas.
Certains craignent que cette situation ne soit que temporaire, en raison de la volatilité des coûts de production liés aux aliments pour bétail et aux intrants agricoles, fortement influencés par les marchés internationaux. Les petits producteurs, eux, risquent de subir les effets négatifs d’une telle déflation, n’ayant pas la capacité de maintenir des prix bas sur le long terme.
La question qui se pose désormais est de savoir si cette chute des prix est durable ou si elle annonce une nouvelle instabilité sur le marché de la volaille. Pour l’heure, les consommateurs profitent pleinement de cette aubaine. Mais à long terme, les experts appellent à une régulation plus fine du secteur, afin d'éviter des fluctuations trop brusques qui peuvent fragiliser l'ensemble de la chaîne de production.
Au-delà d'une simple baisse des prix, cette situation reflète un besoin plus large de structuration du marché avicole au Maroc. Les acteurs du secteur appellent à des réformes qui visent à stabiliser les prix, tout en garantissant des conditions équitables pour les producteurs et un accès abordable pour les consommateurs.