L'attaquant de 37 ans, arrivé à Ryad la semaine dernière, est de loin le joueur le plus célèbre à rejoindre une équipe du Golfe.
La vedette portugaise recevra 200 millions d'euros dans le cadre de son contrat de deux ans et demi avec Al-Nassr, et "200 autres millions" pour être "l'ambassadeur" de la candidature conjointe que l'Arabie saoudite envisage de déposer avec la Grèce et l'Egypte pour organiser la Coupe du monde en 2030, a affirmé une source proche des négociations, ayant requis l'anonymat.
L'arrivée de l'ancien joueur de Manchester United, du Real Madrid et de Juventus s'inscrit dans la volonté du royaume d'attirer les regards sur son championnat alors que son voisin qatari vient d'accueillir le Mondial-2022.
Le quintuple Ballon d'Or, et recordman du nombre de buts en sélection devrait faire ses débuts à Al-Nassr le 22 janvier.
"Sous les projecteurs"
Selon la même source, l'accord a été soutenu par des membres de la famille royale, notamment le prince héritier et dirigeant de facto du pays, Mohammed ben Salmane, souvent désigné par ses initiales MBS.
Selon cette source, le fonds souverain du royaume conservateur, Public investissement Fund (PIF), a été mis à contribution.
Le fonds souverain saoudien, qui investit de plus en plus dans dans le monde du sport, a acheté l'année dernière le club de football anglais de Newcastle.
Il finance également le LIV Golf, un circuit qui a divisé le monde du golf en attirant les plus grandes stars du US PGA Tour et du DP World Tour.
Une autre source proche d'Al-Nassr a confirmé à l'AFP que les princes étaient à l'origine de l'accord surprise.
Al-Nassr a décroché neuf titres de la ligue saoudienne, mais il n'a jamais remporté le championnat d'Asie, contrairement à ses rivaux Al-Hilal, quatre fois vainqueur, et Al-Ittihad, qui l'a gagné à deux reprises.
LODJ avec AFP
La vedette portugaise recevra 200 millions d'euros dans le cadre de son contrat de deux ans et demi avec Al-Nassr, et "200 autres millions" pour être "l'ambassadeur" de la candidature conjointe que l'Arabie saoudite envisage de déposer avec la Grèce et l'Egypte pour organiser la Coupe du monde en 2030, a affirmé une source proche des négociations, ayant requis l'anonymat.
L'arrivée de l'ancien joueur de Manchester United, du Real Madrid et de Juventus s'inscrit dans la volonté du royaume d'attirer les regards sur son championnat alors que son voisin qatari vient d'accueillir le Mondial-2022.
Le quintuple Ballon d'Or, et recordman du nombre de buts en sélection devrait faire ses débuts à Al-Nassr le 22 janvier.
"Sous les projecteurs"
Selon la même source, l'accord a été soutenu par des membres de la famille royale, notamment le prince héritier et dirigeant de facto du pays, Mohammed ben Salmane, souvent désigné par ses initiales MBS.
"MBS et (ses frères) Naif, Turki et Rakan, les enfants du roi Salmane, sont tous membres honoraires d'Al-Nassr, depuis l'époque d'avant que leur père ne devienne prince héritier".
"Ils voulaient donner la suprématie à leur club et le mettre sous les projecteurs. Le meilleur moyen était d'amener le meilleur joueur au monde", a-t-elle ajouté.
Selon cette source, le fonds souverain du royaume conservateur, Public investissement Fund (PIF), a été mis à contribution.
"Al-Nassr et les autres clubs saoudiens n'ont pas les fonds nécessaires pour un tel contrat. C'est PIF qui a garanti le paiement".
Le fonds souverain saoudien, qui investit de plus en plus dans dans le monde du sport, a acheté l'année dernière le club de football anglais de Newcastle.
Il finance également le LIV Golf, un circuit qui a divisé le monde du golf en attirant les plus grandes stars du US PGA Tour et du DP World Tour.
Une autre source proche d'Al-Nassr a confirmé à l'AFP que les princes étaient à l'origine de l'accord surprise.
"Ce sont les frères de MBS qui ont suggéré l'accord et cherché à le finaliser à tout prix", a-t-elle dit.
"Ils sont tous fans d'Al-Nassr et voulaient prouver que leur équipe est vraiment l'Internationale", a-t-elle ajouté en référence au surnom donné au club de la capitale.
Al-Nassr a décroché neuf titres de la ligue saoudienne, mais il n'a jamais remporté le championnat d'Asie, contrairement à ses rivaux Al-Hilal, quatre fois vainqueur, et Al-Ittihad, qui l'a gagné à deux reprises.
LODJ avec AFP