Dans ce cadre, l’ONG a particulièrement salué la fixation de l’âge légal du mariage à 18 ans révolus, qualifiant cette décision d’« avancée positive ». Elle a toutefois insisté sur l’importance de limiter strictement les exceptions permettant le mariage des filles dès 17 ans.
Concernant le maintien de la garde des enfants par la mère divorcée, même après son remariage, TPAME considère que cette mesure contribue à assurer la stabilité des enfants et les protège contre les risques d’errance. De même, elle estime que la mise en place d’une tutelle légale conjointe entre les époux permettra à la mère de participer aux décisions liées aux enfants mineurs, renforçant ainsi la protection de leurs intérêts.
S’agissant de la reconnaissance du travail domestique de l’épouse comme une contribution au développement des biens acquis pendant le mariage, l’ONG souligne que cette mesure « rétablit l’équité envers les femmes et reconnaît leur rôle effectif au sein de la famille ».
En ce qui concerne les questions d’héritage, TPAME exprime le souhait que le Conseil supérieur adopte des interprétations adaptées aux exigences contemporaines, s’inspirant notamment des efforts d’interprétation entrepris par le calife Omar ibn al-Khattab.
Enfin, l’organisation « Touche pas à mon enfant » a exprimé son espoir que le législateur adopte ces amendements tout en améliorant les textes juridiques, conformément aux dispositions de la Constitution du Royaume qui consacre la primauté des conventions internationales ratifiées.
Concernant le maintien de la garde des enfants par la mère divorcée, même après son remariage, TPAME considère que cette mesure contribue à assurer la stabilité des enfants et les protège contre les risques d’errance. De même, elle estime que la mise en place d’une tutelle légale conjointe entre les époux permettra à la mère de participer aux décisions liées aux enfants mineurs, renforçant ainsi la protection de leurs intérêts.
S’agissant de la reconnaissance du travail domestique de l’épouse comme une contribution au développement des biens acquis pendant le mariage, l’ONG souligne que cette mesure « rétablit l’équité envers les femmes et reconnaît leur rôle effectif au sein de la famille ».
En ce qui concerne les questions d’héritage, TPAME exprime le souhait que le Conseil supérieur adopte des interprétations adaptées aux exigences contemporaines, s’inspirant notamment des efforts d’interprétation entrepris par le calife Omar ibn al-Khattab.
Enfin, l’organisation « Touche pas à mon enfant » a exprimé son espoir que le législateur adopte ces amendements tout en améliorant les textes juridiques, conformément aux dispositions de la Constitution du Royaume qui consacre la primauté des conventions internationales ratifiées.