Dans sa thèse de doctorat d'État soutenue en 1980, Dialmy explore la complexité de la sexualité des jeunes Marocains, caractérisée par une double interdiction, à la fois d'ordre religieux et juridique. Il observe un déplacement de l'âge moyen du premier mariage, incitant ainsi les jeunes à rechercher des solutions pour concilier leurs désirs avec les normes sociales.
Le sociologue identifie également des disparités de comportements sexuels au sein de différentes classes sociales, observant une tendance à une plus grande liberté sexuelle parmi les jeunes issus de milieux aisés depuis les années 1970.
Dialmy met en évidence les répercussions néfastes de ces tabous, notamment la prostitution, la hausse des violences sexuelles, la propagation des infections sexuellement transmissibles et le recours à des avortements clandestins. Malgré cela, son optimisme persiste, plaidant en faveur de réformes juridiques, éducatives et culturelles visant à instaurer une société plus ouverte et respectueuse des libertés sexuelles.
Le Maroc se trouve à un moment décisif où les tabous sexuels, depuis longtemps enracinés dans la société, commencent à être remis en question par le gouvernement actuel. Cette évolution reflète un changement dans l'attitude de la majorité des Marocains, montrant une disposition croissante à adopter des réformes plus libérales en matière de sexualité. Cette dynamique suggère un avenir où les libertés individuelles pourraient être mieux respectées, marquant ainsi un potentiel tournant vers une société plus ouverte et inclusive.
Quelle est votre opinion à ce sujet ? N'hésitez pas à partager vos réflexions et à engager la discussion !
Salma LABTAR
Le sociologue identifie également des disparités de comportements sexuels au sein de différentes classes sociales, observant une tendance à une plus grande liberté sexuelle parmi les jeunes issus de milieux aisés depuis les années 1970.
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Salma LABTAR