A lire ou à écouter en podcast :
Par Rachid Boufous
Cette nouvelle édition de la nuit de la philosophie à Rabat aura un goût particulier.
Pourquoi parler de Spinoza, de Descartes, de Kant ou d’Averroes, quand nous assistons à la défaite de la pensée ?
Pourquoi philosopher quand tant de victimes innocentes meurent chaque jour, juste parce qu’elles veulent vivre ?
Le monde des lumières apporte son aide aveugle et inconditionnelle à un occupant génocidaire, au détriment de toutes les valeurs humaines universelles, bafouant les lois internationales en temps de guerre, qui pourtant, imposent la protection des populations civiles innocentes.
La philosophie n’a plus sa place en pareilles circonstances, car quand agir devient impossible, à quoi bon philosopher, ni même « écrire le futur », thème de la soirée philosophique Rbatie ?
Pourquoi parler de Spinoza, de Descartes, de Kant ou d’Averroes, quand nous assistons à la défaite de la pensée ?
Pourquoi philosopher quand tant de victimes innocentes meurent chaque jour, juste parce qu’elles veulent vivre ?
Le monde des lumières apporte son aide aveugle et inconditionnelle à un occupant génocidaire, au détriment de toutes les valeurs humaines universelles, bafouant les lois internationales en temps de guerre, qui pourtant, imposent la protection des populations civiles innocentes.
La philosophie n’a plus sa place en pareilles circonstances, car quand agir devient impossible, à quoi bon philosopher, ni même « écrire le futur », thème de la soirée philosophique Rbatie ?
De plus, pourquoi tenter d’écrire le futur ? Il est définitivement écrit et narré par les puissances occidentales et leur allié israélien encombrant, à qui elles ne peuvent rien imposer ni interdire…
Le Dieu de Spinoza est mort depuis longtemps. Tous les Dieux aussi, d’ailleurs.
Ils ont abandonné les humains à leur triste sort, ne pouvant plus rien pour eux, devant tant d’injustice.
La philosophie n’est plus qu’un blabla pour bourgeois en mal de conscience.
Comme je n’ai aucune conscience, je préfère rester chez moi ou mieux, aller boire un verre et oublier que le monde que j’ai connu a cessé d’exister…
In Vino Veritas.
Rédigé par Rachid Boufous
Le Dieu de Spinoza est mort depuis longtemps. Tous les Dieux aussi, d’ailleurs.
Ils ont abandonné les humains à leur triste sort, ne pouvant plus rien pour eux, devant tant d’injustice.
La philosophie n’est plus qu’un blabla pour bourgeois en mal de conscience.
Comme je n’ai aucune conscience, je préfère rester chez moi ou mieux, aller boire un verre et oublier que le monde que j’ai connu a cessé d’exister…
In Vino Veritas.
Rédigé par Rachid Boufous