La junte militaire intensifie les arrestations de militants et d’opposants avant la présidentielle
À l’approche de la présidentielle prévue le 7 septembre, l’Algérie semble plonger davantage dans l’autoritarisme. Le régime militaire en place, obsédé par le maintien du pouvoir, orchestre une vague de répression sans précédent, ciblant toute forme d’opposition, de contestation ou simplement d’opinions divergentes.
Des arrestations arbitraires se multiplient à travers tout le pays. Militants, intellectuels, journalistes, voire simples citoyens, sont pris dans les filets d’un système judiciaire corrompu et inféodé au régime militaire. Les voix dissidentes sont réduites au silence, étouffées par des accusations fallacieuses de « propagation de discours de haine » ou d' »apologie du terrorisme ». Même les critiques légères à l’encontre du président Tebboune sur les réseaux sociaux suffisent à envoyer quelqu’un derrière les barreaux. L’indifférence internationale face à cette tragédie est glaçante.
L’Algérie d’aujourd’hui, sous la poigne de fer des généraux, s’éloigne chaque jour un peu plus des idéaux de liberté et de démocratie pour lesquels des milliers d’Algériens ont lutté.
Des arrestations arbitraires se multiplient à travers tout le pays. Militants, intellectuels, journalistes, voire simples citoyens, sont pris dans les filets d’un système judiciaire corrompu et inféodé au régime militaire. Les voix dissidentes sont réduites au silence, étouffées par des accusations fallacieuses de « propagation de discours de haine » ou d' »apologie du terrorisme ». Même les critiques légères à l’encontre du président Tebboune sur les réseaux sociaux suffisent à envoyer quelqu’un derrière les barreaux. L’indifférence internationale face à cette tragédie est glaçante.
L’Algérie d’aujourd’hui, sous la poigne de fer des généraux, s’éloigne chaque jour un peu plus des idéaux de liberté et de démocratie pour lesquels des milliers d’Algériens ont lutté.