L'agression israélienne contre le Liban s’intensifie, entraînant une nouvelle vague de destructions et de morts parmi les civils. Au cours des dernières 24 heures, les frappes israéliennes ont ciblé sans relâche les villages du sud du Liban, dont Ramia, Ain Baal et Beit Liev, sous prétexte de détruire les infrastructures du Hezbollah.
Le dernier bilan macabre s’élève à 558 martyrs, dont 50 enfants et 94 femmes, selon le ministère de la Santé libanais. Ces chiffres glaçants sont révélateurs de la cruauté de l’offensive sioniste, qui n’hésite pas à écraser les civils sous ses bombardements aveugles.
Le chef d’état-major israélien, Hertzi Halevi, a récemment déclaré que l’armée allait accélérer ses opérations sur toutes les frontières, intensifiant les bombardements contre des cibles présumées du Hezbollah. « Il n’y aura aucune trêve, nous devons poursuivre avec force », a-t-il affirmé, montrant ainsi la volonté d’Israël de continuer à écraser un Liban déjà meurtri.
En réponse, le Hezbollah a intensifié ses ripostes. Une salve de missiles "Fadi 2" a frappé le camp militaire israélien d’Elyakim, situé au sud de Haïfa, semant la panique dans la population israélienne. Des rapports israéliens confirment que 14 soldats ont été blessés, et que les villes de Haïfa et Safed, dépourvues de refuges suffisants, voient leurs habitants fuir désespérément les zones de bombardements.
Malgré la violence, les dirigeants libanais continuent d’appeler la communauté internationale, particulièrement l’ONU, à intervenir de toute urgence. Cependant, ces appels restent sans réponse concrète, les puissances occidentales, notamment les États-Unis, soutenant largement l’offensive israélienne. Le président américain Joe Biden a réitéré son engagement pour un cessez-le-feu à Gaza, mais l’escalade au Liban semble ne pas être sa priorité.
Le président iranien a mis en garde contre une répétition du scénario de Gaza au Liban, soulignant que la violence pourrait se transformer en un conflit régional dévastateur. Pourtant, l’agression israélienne, soutenue par une aide militaire massive, se poursuit, écrasant le Liban sous le poids d'une guerre injuste.
Alors que les civils libanais continuent de souffrir, l’indifférence du monde entier résonne avec la même cruauté que les bombes israéliennes. Le Hezbollah, avec des ressources limitées, maintient une résistance fragile face à une machine de guerre bien armée. Pour le Liban, l’avenir s’assombrit de plus en plus, victime d’un conflit dévastateur et d’une communauté internationale complice par son silence.
Le dernier bilan macabre s’élève à 558 martyrs, dont 50 enfants et 94 femmes, selon le ministère de la Santé libanais. Ces chiffres glaçants sont révélateurs de la cruauté de l’offensive sioniste, qui n’hésite pas à écraser les civils sous ses bombardements aveugles.
Le chef d’état-major israélien, Hertzi Halevi, a récemment déclaré que l’armée allait accélérer ses opérations sur toutes les frontières, intensifiant les bombardements contre des cibles présumées du Hezbollah. « Il n’y aura aucune trêve, nous devons poursuivre avec force », a-t-il affirmé, montrant ainsi la volonté d’Israël de continuer à écraser un Liban déjà meurtri.
En réponse, le Hezbollah a intensifié ses ripostes. Une salve de missiles "Fadi 2" a frappé le camp militaire israélien d’Elyakim, situé au sud de Haïfa, semant la panique dans la population israélienne. Des rapports israéliens confirment que 14 soldats ont été blessés, et que les villes de Haïfa et Safed, dépourvues de refuges suffisants, voient leurs habitants fuir désespérément les zones de bombardements.
Malgré la violence, les dirigeants libanais continuent d’appeler la communauté internationale, particulièrement l’ONU, à intervenir de toute urgence. Cependant, ces appels restent sans réponse concrète, les puissances occidentales, notamment les États-Unis, soutenant largement l’offensive israélienne. Le président américain Joe Biden a réitéré son engagement pour un cessez-le-feu à Gaza, mais l’escalade au Liban semble ne pas être sa priorité.
Le président iranien a mis en garde contre une répétition du scénario de Gaza au Liban, soulignant que la violence pourrait se transformer en un conflit régional dévastateur. Pourtant, l’agression israélienne, soutenue par une aide militaire massive, se poursuit, écrasant le Liban sous le poids d'une guerre injuste.
Alors que les civils libanais continuent de souffrir, l’indifférence du monde entier résonne avec la même cruauté que les bombes israéliennes. Le Hezbollah, avec des ressources limitées, maintient une résistance fragile face à une machine de guerre bien armée. Pour le Liban, l’avenir s’assombrit de plus en plus, victime d’un conflit dévastateur et d’une communauté internationale complice par son silence.