Une Espagne tombée du haut...de nos espérances
Quelle chute ! Le show espagnol tombe les rideaux sur une note roulée dans la fange.
Une clôture piteuse, sans attrait.
En ressort un calcul mauvais marchand, oui l’Espagne a tout faux !
Une foi mijotée dans tout ce qui se fait de pernicieux.
Ça mijote fort...mal. L’Espagne ne semble s’être servi que d’immondices...de quoi exercer votre répulsion naturelle. S’exercer à exécrer..
Alors que le Maroc lui fit grief de ses accointances au traître relent ... roulant-choyant dans ses « graces » le dissident-tortionnaire.
Alors que le Maroc osait espérer, à minima, une note d’information... bien que malheureuse : la réception-catastrophe du chef dissident.
Sur le tard, Une note tombe, retournée et mal avisée ...un coup en dessous de la ceinture : Ghali rentre en Algérie
L’Espagne, cet apprenti sorcier
Le jeu de la bête ingénue n’amuse personne: à présent nous avons vent de l’objet de discorde, vous informons par canaux officiels, que le tortionnaire quitte l’Espagne pour l’Algérie-mère: le donneur d’ordre.
Quel crédule faut-il être pour donner dans ce cirque de non-sens?
Colmater une entaille à jamais ouverte ? Par vos mauvais offices ? De qui se joue-t-on ?
Les masques étaient par terre , compromis une fois que cet allumeur de mèches « Ghali » mit pied et opprobre sur base militaire espagnole.
Une roublardise consentie par les hauts-lieux, faux-papiers en poche, et « Alger » en sponsor.
Bien sûr, l’Espagne, comme apprenti sorcier, mauvais joueur d’échecs, croyait fignoler ses coups en amont...
N’est-ce pas qu’elle mit ses tartufferies réunies à discréditer ce qui tient lieu d’identité volée? C’est raté...
Oui car Benbattouch, le vrai, existe et circule ! Clin d’œil à l’ingéniosité algérienne...quelle trouvaille ! Il est l’heure de se rhabiller...
Le discrédit sur-jeté sur les papiers « bidons » fut d’entrée un indice probant à l’éventuel laisser-filer du protégé Ghali.
Les papiers porteraient son nom...quel œil allons nous faire notre pour nous écrier « Mon œil ! »
N’est-ce pas que des gages furent affirmés, dans la fièvre de l’axe Madrid-Alger ?
Alors que le souverainisme espagnol ne fut que nudité obscène, que son apparat-separation-de-pouvoirs devint la risée du monde, l’Espagne se devait trouver un exutoire.
Refuser de sacrifier le « dépôt » algérien, tout en préservant l’immaculée dame justice.
ce qui cloche...
N’y eut-Il pas brèche entrouverte entre l’exécutif et le judiciaire ? « présentez-vous, vous êtes couvert ! »
Un juge d’instruction qui, contre toute attente,
Se refuse de creuser la véracité des papiers, juge bon de relaxer l’accusé, avec papiers...mais lesquels ?
Sitôt fait, un avion algérien affrété pour évacuer le tortionnaire vrombit sous l’œil ahuri des victimes, entre autres, espagnoles.
Une justice en...l’air !
Suite à cette bévue-mascarade l’ambassadeur espagnol fut sommé de quitter le Maroc.
Le président Algérien, accompagné de son général ( ou plutôt l’inverse) fait exprès de rendre visite au « cher » échappé à la justice... le jour de sa livraison, alité à l’hôpital...le leur
Un ciel mauvais plombe à présent l’horizon Maroco-espagnol... Le Maroc n’est pas prêt d’oublier cette bravade.