Une caméra et un détecteur de mouvements
Alors que des militaires se trouvaient sur la base militaire de Sant Climent en Catalogne, ils ont découvert une poule vivante, attachée au niveau d’une zone de manœuvres. L’animal était équipé de capteurs et d’une caméra, d’après une information du média espagnol El Diari de Girona du vendredi 7 octobre 2022.
Selon la même source, les militaires ont tout de suite alerté les forces de police autonome de la Catalogne, qui ont envoyé une patrouille.
Après avoir analysé la poule, l’animal portait un détecteur de mouvements et une caméra qui filmait en temps réel. Une étiquette était accrochée sur l’appareil d’enregistrement où l’on pouvait lire « Université de Gérone, étude de la faune ».
Selon la même source, les militaires ont tout de suite alerté les forces de police autonome de la Catalogne, qui ont envoyé une patrouille.
Après avoir analysé la poule, l’animal portait un détecteur de mouvements et une caméra qui filmait en temps réel. Une étiquette était accrochée sur l’appareil d’enregistrement où l’on pouvait lire « Université de Gérone, étude de la faune ».
Utilisée dans une étude
Prévenu, le propriétaire de l’animal s’est rendu à la base militaire espagnole afin de fournir quelques explications. Biologiste de l’université catalane, il a assuré avoir obtenu les autorisations nécessaires pour mener des recherches scientifiques dans cette zone. Il a finalement été conduit au commissariat pour des vérifications.
Ces dernières ont pu confirmer que le chercheur menait effectivement une enquête zoologique sur l’aigle de la région des Albères. Pour sa défense, il a assuré ignorer que la poule était attachée dans une zone interdite d’accès. L’homme a finalement pu repartir avec son oiseau. Déjà en février 2022, une poule avait fait parler d’elle. Celle-ci avait été retrouvée à proximité du Pentagone, aux États-Unis.
Ce n’est pas la première fois qu’un membre de son espèce se fait remarquer dans une zone militaire : en février 2022, une poule avait aussi été arrêtée alors qu’elle furetait à proximité du Pentagone aux États-Unis.
L'odj avec OuestFrance
Ces dernières ont pu confirmer que le chercheur menait effectivement une enquête zoologique sur l’aigle de la région des Albères. Pour sa défense, il a assuré ignorer que la poule était attachée dans une zone interdite d’accès. L’homme a finalement pu repartir avec son oiseau. Déjà en février 2022, une poule avait fait parler d’elle. Celle-ci avait été retrouvée à proximité du Pentagone, aux États-Unis.
Ce n’est pas la première fois qu’un membre de son espèce se fait remarquer dans une zone militaire : en février 2022, une poule avait aussi été arrêtée alors qu’elle furetait à proximité du Pentagone aux États-Unis.
L'odj avec OuestFrance