Près de 700 personnes arnaquées
Sur Google Shopping, une annonce est apparue, proposant la vente un canapé convertible pour environ 360 euros. Le problème : une fois payé, le produit n’est jamais livré. La société Vehrnex, à l'origine de ces annonces, aurait arnaqué près de 700 personnes, rapporte Numerama, un site web d’actualité sur le numérique, dans une enquête publiée mardi 3 mai.
Google lui-même ne s'est aperçu de rien, puisqu'il aurait bien classé le produit dont les commentaires, tous faux, vantaient les mérites.
Les victimes auraient toutes été rassurées par l'existence d'un site web, désormais indisponible, mais encore visible via le site d'archives en ligne WaybackMachine. Un faux service client qui a d'abord répondu avant de se taire, et une centaine d'avis sur Trustpilot, un site d'évaluation des consommateurs particulièrement louable, auraient fait pencher la balance en faveur de l'achat.
Google considéré en partie responsable
Numerama pointe, dans son article, la responsabilité des plateformes qui ont conduit à l'arnaque, notamment Google Shopping, ou encore Cdiscount, une entreprise française de commerce en ligne, qui a enregistré Vehrnex comme revendeur alors qu'il s'agissait d'une arnaque.
CDiscount n'avait pas répondu avant la publication de l'enquête, tandis qu'un porte-parole de Google a expliqué qu'il prenait très au sérieux les "pratiques commerciales malhonnêtes", considérées comme une "violation flagrante" de ses règles.
Ce dernier a ajouté que la plateforme avait commencé à étendre la vérification de l'identité à tous les annonceurs". Trustpilot a déclaré, de son côté, prendre "toutes les actions possibles contre les commentaires manipulés" et "contre la vente d'avis".
Des dizaines de témoignages
Depuis les premières arnaques, les avis sur Trustpilot sont plus proches de la réalité: la page du site accumule des dizaines de témoignages de clients trompés, dénonçant la duperie. Au 10 mars, une publication indique la création d'un groupe de victimes "arnaque Vehrnex" sur Facebook, qui compte à ce jour plus de 740 membres.
Auprès de Numerama, Google assure prendre "très au sérieux les pratiques commerciales malhonnêtes" et être en train d'étendre "la vérification d’identité à tous les annonceurs".
L'odj avec BFMTV
Sur Google Shopping, une annonce est apparue, proposant la vente un canapé convertible pour environ 360 euros. Le problème : une fois payé, le produit n’est jamais livré. La société Vehrnex, à l'origine de ces annonces, aurait arnaqué près de 700 personnes, rapporte Numerama, un site web d’actualité sur le numérique, dans une enquête publiée mardi 3 mai.
Google lui-même ne s'est aperçu de rien, puisqu'il aurait bien classé le produit dont les commentaires, tous faux, vantaient les mérites.
Les victimes auraient toutes été rassurées par l'existence d'un site web, désormais indisponible, mais encore visible via le site d'archives en ligne WaybackMachine. Un faux service client qui a d'abord répondu avant de se taire, et une centaine d'avis sur Trustpilot, un site d'évaluation des consommateurs particulièrement louable, auraient fait pencher la balance en faveur de l'achat.
Google considéré en partie responsable
Numerama pointe, dans son article, la responsabilité des plateformes qui ont conduit à l'arnaque, notamment Google Shopping, ou encore Cdiscount, une entreprise française de commerce en ligne, qui a enregistré Vehrnex comme revendeur alors qu'il s'agissait d'une arnaque.
CDiscount n'avait pas répondu avant la publication de l'enquête, tandis qu'un porte-parole de Google a expliqué qu'il prenait très au sérieux les "pratiques commerciales malhonnêtes", considérées comme une "violation flagrante" de ses règles.
Ce dernier a ajouté que la plateforme avait commencé à étendre la vérification de l'identité à tous les annonceurs". Trustpilot a déclaré, de son côté, prendre "toutes les actions possibles contre les commentaires manipulés" et "contre la vente d'avis".
Des dizaines de témoignages
Depuis les premières arnaques, les avis sur Trustpilot sont plus proches de la réalité: la page du site accumule des dizaines de témoignages de clients trompés, dénonçant la duperie. Au 10 mars, une publication indique la création d'un groupe de victimes "arnaque Vehrnex" sur Facebook, qui compte à ce jour plus de 740 membres.
Auprès de Numerama, Google assure prendre "très au sérieux les pratiques commerciales malhonnêtes" et être en train d'étendre "la vérification d’identité à tous les annonceurs".
L'odj avec BFMTV