Selon Errol Musk, père du milliardaire, les racines familiales d’Elon à Liverpool alimenteraient cette fascination. Sa grand-mère y serait née, et des liens familiaux avec la ville existent depuis des générations. Cette histoire personnelle pourrait expliquer un tel intérêt, même si aucun mouvement concret n’a été officiellement entrepris.
Le club, actuellement sous la direction du Fenway Sports Group (FSG), n’est pas à vendre. Kaveh Solhekol, reporter en chef du Sky Sports News :
Des obstacles multiples pour Elon Musk
Acheter Liverpool serait bien plus complexe qu’un simple échange financier, même pour un homme dont la fortune avoisine les 340 milliards de livres. En effet, plusieurs barrières réglementaires se dressent sur la route de Musk. Le test des propriétaires et directeurs de la Premier League est strict, visant à garantir que tout nouvel acquéreur réponde à des standards éthiques et financiers. De plus, un éventuel régulateur indépendant du football pourrait compliquer l’opération.
Au-delà des formalités administratives, Musk devrait aussi convaincre les supporters, un défi de taille. Liverpool FC est reconnu pour son ancrage communautaire et ses valeurs de justice sociale, d’égalité et de diversité. Les fans, très impliqués, pourraient voir en Musk un propriétaire éloigné de ces principes. Le reporter en chef du Sky Sports News ajoute dans ce sens :
Des enjeux financiers et sportifs
Liverpool FC fait face à des défis économiques, ayant enregistré une perte avant impôts de 9 millions de livres l’an dernier. L’absence de Ligue des champions cette saison pourrait aggraver cette situation. Par ailleurs, des négociations contractuelles complexes avec des stars comme Mohamed Salah, Virgil van Dijk et Trent Alexander-Arnold ajoutent une pression supplémentaire sur le club.
Pour Musk, l’investissement représenterait un pourcentage infime de sa fortune, mais les retombées médiatiques et politiques pourraient être bien plus importantes que le simple retour sur investissement. Reste à savoir si cet intérêt dépasse le stade des rumeurs ou s’inscrit dans une réelle volonté stratégique.
Pour l’instant, rien ne confirme que Liverpool sera prochainement sous pavillon Musk. Cependant, cette possibilité soulève des questions sur l’avenir du football européen face aux convoitises des grands magnats. Si cette acquisition devait se concrétiser, elle marquerait une nouvelle étape dans l’influence croissante des milliardaires sur ce sport universel.
Le club, actuellement sous la direction du Fenway Sports Group (FSG), n’est pas à vendre. Kaveh Solhekol, reporter en chef du Sky Sports News :
"Liverpool n’est pas à vendre. Les propriétaires n’ont reçu aucune offre ni aucune approche de quiconque, y compris Elon Musk ou un membre de sa famille. Il est vrai qu’il y a environ deux ans et demi, les propriétaires de Liverpool cherchaient un investissement externe, mais ces discussions n’ont abouti à rien." Kaveh SolhekolPourtant, en 2010, FSG avait acquis Liverpool pour environ 300 millions de livres, une somme qui serait aujourd’hui dérisoire comparée à la valeur actuelle du club. En 2023, une minorité des actions a été cédée à Dynasty Equity, mais le propriétaire principal, John Henry, a affirmé son engagement à long terme, excluant toute vente complète.
Des obstacles multiples pour Elon Musk
Acheter Liverpool serait bien plus complexe qu’un simple échange financier, même pour un homme dont la fortune avoisine les 340 milliards de livres. En effet, plusieurs barrières réglementaires se dressent sur la route de Musk. Le test des propriétaires et directeurs de la Premier League est strict, visant à garantir que tout nouvel acquéreur réponde à des standards éthiques et financiers. De plus, un éventuel régulateur indépendant du football pourrait compliquer l’opération.
Au-delà des formalités administratives, Musk devrait aussi convaincre les supporters, un défi de taille. Liverpool FC est reconnu pour son ancrage communautaire et ses valeurs de justice sociale, d’égalité et de diversité. Les fans, très impliqués, pourraient voir en Musk un propriétaire éloigné de ces principes. Le reporter en chef du Sky Sports News ajoute dans ce sens :
"Si Elon Musk souhaitait vraiment acheter Liverpool, rien ne pourrait l’en empêcher, hormis les fans de Liverpool. Le premier obstacle serait de convaincre les propriétaires de vendre le club. Tout a un prix. Nous savons qu’Elon Musk est l’homme le plus riche du monde, mais il devrait passer le test des propriétaires et directeurs de la Premier League." Kaveh Solhekol
Des enjeux financiers et sportifs
Liverpool FC fait face à des défis économiques, ayant enregistré une perte avant impôts de 9 millions de livres l’an dernier. L’absence de Ligue des champions cette saison pourrait aggraver cette situation. Par ailleurs, des négociations contractuelles complexes avec des stars comme Mohamed Salah, Virgil van Dijk et Trent Alexander-Arnold ajoutent une pression supplémentaire sur le club.
Pour Musk, l’investissement représenterait un pourcentage infime de sa fortune, mais les retombées médiatiques et politiques pourraient être bien plus importantes que le simple retour sur investissement. Reste à savoir si cet intérêt dépasse le stade des rumeurs ou s’inscrit dans une réelle volonté stratégique.
"C’est une figure controversée, mais si l’on examine ce test, il aurait de bonnes chances de le réussir. Ensuite, il faudrait qu’il surmonte l’obstacle d’un régulateur indépendant du football, si cela venait à exister. Il a tellement d’argent qu’il peut probablement faire ce qu’il veut. Le problème serait avec les supporters de Liverpool, car tout le monde sait que c’est un club ancré dans la communauté. Ses supporters croient en la justice sociale, l’égalité et la diversité. Je ne suis pas sûr que ces fans accepteraient quelqu’un comme Elon Musk en tant que propriétaire de leur club." Kaveh Solhekol
Pour l’instant, rien ne confirme que Liverpool sera prochainement sous pavillon Musk. Cependant, cette possibilité soulève des questions sur l’avenir du football européen face aux convoitises des grands magnats. Si cette acquisition devait se concrétiser, elle marquerait une nouvelle étape dans l’influence croissante des milliardaires sur ce sport universel.