Poème à écouter en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Quand l’espoir vacille et que tout semble vain,
Garde en toi la flamme, elle éclaire le chemin.
Les mots sont des armes, qu’on choisit de guérir,
Ou d’ouvrir des plaies, mais jamais pour mourir.
La vie est un fleuve, doux, parfois déchaîné,
Mais elle apprend toujours à nous faire renaître.
Respire avant l’orage, écoute avant d’agir,
Car le calme en ton cœur vaut mieux qu’un vain plaisir.
La critique est un miroir, reflétant nos ombres,
Examine-toi d’abord, avant que tout ne sombre.
Donne avant de prendre, sans calcul ni retour,
Le bonheur est un cercle, un cadeau d’un amour.
Chaque chute est un pas vers une autre lumière,
Relève-toi plus fort, et brise tes frontières.
La patience est clé, mais n’attends rien des âmes,
L’espoir qui vit en soi est plus fort que les flammes.
Ceux qui rabaissent fuient leur propre reflet,
Ne sois jamais leur cible, élève ton respect.
Vis dans l’instant présent, laisse le passé mourir,
Car demain s’écrit clair, loin de l’ombre des soupirs.
La force est un sourire cachant les larmes douces,
Une armure discrète quand le cœur se pousse.
Entoure-toi de ceux qui font fleurir tes jours,
Sois pour eux la lumière d’un bienveillant détour.
L’amour vrai n’exige ni perfection ni masque,
Il chérit les défauts, dans leur douce bourrasque.
Et si la vie chancelle, dis-lui avec éclat :
Je suis là, je suis fort, je renaîtrai cent fois.
Garde en toi la flamme, elle éclaire le chemin.
Les mots sont des armes, qu’on choisit de guérir,
Ou d’ouvrir des plaies, mais jamais pour mourir.
La vie est un fleuve, doux, parfois déchaîné,
Mais elle apprend toujours à nous faire renaître.
Respire avant l’orage, écoute avant d’agir,
Car le calme en ton cœur vaut mieux qu’un vain plaisir.
La critique est un miroir, reflétant nos ombres,
Examine-toi d’abord, avant que tout ne sombre.
Donne avant de prendre, sans calcul ni retour,
Le bonheur est un cercle, un cadeau d’un amour.
Chaque chute est un pas vers une autre lumière,
Relève-toi plus fort, et brise tes frontières.
La patience est clé, mais n’attends rien des âmes,
L’espoir qui vit en soi est plus fort que les flammes.
Ceux qui rabaissent fuient leur propre reflet,
Ne sois jamais leur cible, élève ton respect.
Vis dans l’instant présent, laisse le passé mourir,
Car demain s’écrit clair, loin de l’ombre des soupirs.
La force est un sourire cachant les larmes douces,
Une armure discrète quand le cœur se pousse.
Entoure-toi de ceux qui font fleurir tes jours,
Sois pour eux la lumière d’un bienveillant détour.
L’amour vrai n’exige ni perfection ni masque,
Il chérit les défauts, dans leur douce bourrasque.
Et si la vie chancelle, dis-lui avec éclat :
Je suis là, je suis fort, je renaîtrai cent fois.
Ce poème invite à embrasser la vie avec force et résilience, même face aux épreuves.
Lorsque l’espoir vacille, il encourage à préserver la flamme intérieure qui éclaire le chemin. Les mots, puissants, peuvent soigner ou blesser, mais jamais détruire. La vie, semblable à un fleuve parfois tumultueux, enseigne à renaître après chaque tempête. La patience et l’écoute sont des clés pour avancer avec sérénité, tandis que donner sans attendre en retour crée un cercle de bonheur. Les critiques, miroirs de nos ombres, appellent à l’introspection plutôt qu’au jugement des autres. Chaque chute est une occasion de se relever plus fort, et l’amour, véritable, accepte les imperfections. Le poème célèbre la lumière du présent et la force d’un sourire, symbole de courage face aux défis, affirmant que chaque obstacle peut être surmonté par la foi en soi et en la vie.