"Trash Pouch"
La collection de la maison française Balenciaga compte maintenant le "Trash Pouch", un sac à main en forme de sac poubelles. Cette création plutôt originale est beaucoup plus chère qu’un simple sac à déchets. En effet, Elle se vend à 1700 euros, soit environ 17904 dirhams.
Interrogé par le Women’s Wear Daily, le styliste et directeur artistique de Balenciaga, Demna Gvasalia, a déclaré : "Je ne pouvais rater cette opportunité de créer le sac-poubelle le plus cher au monde, parce que qui n’aime pas un scandale de mode?"
Une ressemblance frappante
Le Trash Pouch est un sac en cuir de veau muni d’un cordon de serrage. En effet, la ressemblance avec un sac-poubelle est frappante. Il est officiellement arrivé dans les magasins Balenciaga après avoir suscité l'attention de plusieurs personnes sur le podium de la Fashion Week de Paris au mois de mars dernier. Le lancement de cet accessoire, qui se présente dans les couleurs typiques des sacs poubelles comme le noir et le blanc, ainsi que le bleu et le jaune, suscite une vague d’indignation sur Internet.
A vrai dire, ce n'est pas la première fois qu'un produit Balenciaga génère ce genre de réaction parce que la marque a tendance à lancer des produits utilitaires à des prix exorbitants. En 2017, la marque avait lancé un fourre-tout de 2 098 euros (22096 dirhams) conçu dans le style des grands sacs à provisions bleus d'Ikea, qui coûtent 99 centimes d’euros (9 dirhams).
A vrai dire, ce n'est pas la première fois qu'un produit Balenciaga génère ce genre de réaction parce que la marque a tendance à lancer des produits utilitaires à des prix exorbitants. En 2017, la marque avait lancé un fourre-tout de 2 098 euros (22096 dirhams) conçu dans le style des grands sacs à provisions bleus d'Ikea, qui coûtent 99 centimes d’euros (9 dirhams).
Un hommage au peule ukrainien
Le Trash Pouch fait partie de la collection automne-hiver 2022. Durant ce défilé la marque a voulu rendre hommage à l'Ukraine. En effet, des mannequins ont défilé avec ledit sac dans la main dans des conditions glaciales, à l’intérieur d’une machine à neige sous l’œil des spectateurs, eux, protégés par une vitre.
Au travers de ce défilé, Demna Gvasalia souhaitait exprimer visuellement ce qu’il a personnellement ressenti en fuyant son pays natal, la Géorgie. Ce dernier voulait également relier cela avec la détresse de nombreuses familles ukrainiennes qui ont fuient l’invasion russe. "Vive l’Ukraine, pour la beauté, la force, la vérité, la liberté", pouvait-on entendre en ouverture du défilé.
L'ODJ avec Mariefrance
Au travers de ce défilé, Demna Gvasalia souhaitait exprimer visuellement ce qu’il a personnellement ressenti en fuyant son pays natal, la Géorgie. Ce dernier voulait également relier cela avec la détresse de nombreuses familles ukrainiennes qui ont fuient l’invasion russe. "Vive l’Ukraine, pour la beauté, la force, la vérité, la liberté", pouvait-on entendre en ouverture du défilé.
L'ODJ avec Mariefrance