Ce vingt-quatrième numéro de la revue "Les Cahiers d'El Jadida", déployé sur 134 pages, rassemble des récits de vies, des portraits et des destins d’hommes et de femmes ayant marqué l’histoire de la ville d’El Jadida. L’ouvrage est préfacé par Lucette Heller-Goldenberg, professeure émérite à l’Université de Cologne, qui décrit l’œuvre comme un effort pour déterrer des « traces à moitié effacées » de la ville. Selon elle, Jmahri retrace les chemins oubliés d'El Jadida, comparant cette démarche à celle du Petit Poucet, semant des petits cailloux blancs pour ne pas perdre le fil de l’histoire.
Une plongée dans le passé culturel d'El Jadida
Mustapha Jmahri s’emploie à redonner vie aux années 60 et 70, une époque où El Jadida brillait comme un carrefour culturel et civilisationnel, marquée par une diversité culturelle foisonnante. L’auteur cherche à ressusciter les couleurs et les histoires des différentes civilisations qui se sont croisées dans cette ville portuaire. L’universitaire Heller-Goldenberg souligne ainsi le mérite de Jmahri, qui parvient à capturer les moments riches du passé d’El Jadida, mettant en lumière les apports des migrants et les regards croisés de ceux qui ont façonné cette cité fascinante.
La mémoire d’une époque révolue
Dans son introduction, Mustapha Jmahri décrit son ouvrage comme un hommage à une société d’hier, dépeignant des témoignages de personnes d’horizons divers. Il évoque la manière dont le temps efface doucement les traces d’un monde en mutation. Pour lui, seule l’écriture a le pouvoir de figer ces moments volatils, de raviver des souvenirs et d’immortaliser les heures passées. À travers son livre, il offre une passerelle entre le passé et le présent, permettant aux lecteurs de revivre les époques disparues d’El Jadida.
Une plongée dans le passé culturel d'El Jadida
Mustapha Jmahri s’emploie à redonner vie aux années 60 et 70, une époque où El Jadida brillait comme un carrefour culturel et civilisationnel, marquée par une diversité culturelle foisonnante. L’auteur cherche à ressusciter les couleurs et les histoires des différentes civilisations qui se sont croisées dans cette ville portuaire. L’universitaire Heller-Goldenberg souligne ainsi le mérite de Jmahri, qui parvient à capturer les moments riches du passé d’El Jadida, mettant en lumière les apports des migrants et les regards croisés de ceux qui ont façonné cette cité fascinante.
La mémoire d’une époque révolue
Dans son introduction, Mustapha Jmahri décrit son ouvrage comme un hommage à une société d’hier, dépeignant des témoignages de personnes d’horizons divers. Il évoque la manière dont le temps efface doucement les traces d’un monde en mutation. Pour lui, seule l’écriture a le pouvoir de figer ces moments volatils, de raviver des souvenirs et d’immortaliser les heures passées. À travers son livre, il offre une passerelle entre le passé et le présent, permettant aux lecteurs de revivre les époques disparues d’El Jadida.
L'ODJ avec lematin