Le film « Birdland » de la réalisatrice marocaine Leila Kilani a été sélectionné à la compétition officielle du 52e Festival international du film de Rotterdam (IFFR), qui aura lieu du 25 janvier au 5 février.
« Birdland » suit l’histoire d’une famille qui se réunit à la Mansouria, le vieux domaine familial en indivision sur une colline de Tanger, pour vendre une énorme parcelle du domaine à un promoteur immobilier. Cependant, la transaction s’avère plus compliquée que prévu.
« Je voulais faire un film sur une famille, sur les oiseaux et sur des adolescentes », explique Leila Kilani dans une interview, ajoutant qu’ »on est plus ouvert d’esprit à l’adolescence, on se pose des questions qu’on évitera soigneusement plus tard, ce qui est particulièrement vrai pour les jeunes femmes au Maroc qui sont moins inhibées que les jeunes hommes ».
Selon la réalisatrice « tout le monde dans le film est bon et mauvais à la fois, il n’y a pas de blanc ou de noir », indiquant qu’elle aime « les films impertinents, effrontés, dérangeants, qui renversent le regard ».
« Birdland » suit l’histoire d’une famille qui se réunit à la Mansouria, le vieux domaine familial en indivision sur une colline de Tanger, pour vendre une énorme parcelle du domaine à un promoteur immobilier. Cependant, la transaction s’avère plus compliquée que prévu.
« Je voulais faire un film sur une famille, sur les oiseaux et sur des adolescentes », explique Leila Kilani dans une interview, ajoutant qu’ »on est plus ouvert d’esprit à l’adolescence, on se pose des questions qu’on évitera soigneusement plus tard, ce qui est particulièrement vrai pour les jeunes femmes au Maroc qui sont moins inhibées que les jeunes hommes ».
Selon la réalisatrice « tout le monde dans le film est bon et mauvais à la fois, il n’y a pas de blanc ou de noir », indiquant qu’elle aime « les films impertinents, effrontés, dérangeants, qui renversent le regard ».